1er jour du médecin, déjà des problèmes ? [pv]

Enfin ! C’était surement ce que les deux jeunes gens pensaient en même temps au moment où la belle embrassa non pas la bête mais son médecin. L’atmosphère de la chambre d’hôpital si reposante et calme redevenait soudainement aussi enflammée que dans le bureau. Si Darcia sentait qu’il ne laissait pas indifférent la belle blondinette, il jouait le jeu en se montrant particulièrement attentionné et charmeur avec elle. Il avait été à la fois une oreille attentive et une épaule réconfortante. Si le fait d’être un soutient moral fait partit de son travail, apporter le petit-déjeuner au lit et tenir compagnie à une seule patiente en dehors de ses heures de travails l’était nettement moins.
En homme qu’il était, il appréciait forcément de plaire et d’être séduit par une femme, encore plus lorsque cette dernière était jeune et remarquablement belle. Un visage d’ange entouré d’une longue chevelure or, dont l’effluve d’un shampoing pêche venait agréablement lui chatouiller les narines. Il aimait ses yeux bleus aussi profonds que les siens, bien que moins perçant. Elle pouvait avoir un regard dur, mais celui de Darcia devenait carrément effrayant lorsqu’il fixait quelqu’un avec sévérité. Enfin, malgré son jeune âge, en plus d’être mignonne, elle avait un véritable corps de rêve à damner un saint. De belle jambes élancée, une peau claire et douce comme de la soie, des fesses fermes et rebondies, le dos bien vouté et enfin une poitrine plus que généreuse dont le médecin avait parfois du mal à en détourner le regard, surtout avec le décolleté de sa nuisette…miam !

Il n’avait pas fallut beaucoup de questions pour comprendre les envies de sa patiente. Il était évident qu’elle le voulait, non pas seulement pour une nuit, mais elle s’était éprise de lui. Dés qu’elle eut fini son café qui acheva de la réveiller, plus en forme que jamais, il débarrassa le plateau et s’assit côté d’elle. Il était proche, très proche d’elle. C’était ce qu’il voulait. Et il n’était pas le seul…Résolu à la faire craquer la première, il s’approcha d’elle, leurs doigts se frôlant presque, sentant l’un et l’autre leurs souffles sur leurs peau. Ils ne se touchaient pas encore mais leurs esprits étaient déjà enlacés dans une étreinte torride et passionnée.
Darcia et Saphire ou du moins leurs enveloppes corporels allaient bientôt les rattrapés cela dit. Il lui demanda s’il était ce qu’elle voulait et sa réponse ne se fit pas attendre.

« -Oui docteur, je suis certaine que vous soyez ce que je veux. »

Joignant le geste à la parole, elle franchit les 5 centimètres qui la séparait des lèvres de Darcia, y déposant un furtif mais non moins tendre baiser. Leur premier baiser. Voulant sentir de plus prés la chaleur du corps du docteur, elle glissa une main le long de sa blouse avant de la poser dans son dos afin de l’amener un peu plus vers elle.
Il n’espérait pas mieux. Darcia la laissa venir l’embrasser, sa main droite se scellant avec la sienne. Lorsqu’elle se recula un instant, le visage empourpré, il pouvait entendre les battements de son cœur. Elle lui sourit malicieusement et lui retourna sa demande.

« -Et vous docteur, êtes-vous sur de ce que vous voulez? »

Pour réponse il lui sourit tendrement avec un regard de braise. Puis, sans rien dire, il vint à son tour déposer ses lèvres contre les siennes, l’embrassant tendrement avant de laisser la passion les enflammer petit à petit. Il sentit la main dans son dos glisser sous sa blouse puis sous sa chemise, afin d’entrer en contact avec sa peau, tout en l’attirant un peu plus vers le lit. Tandis que Saphire jusque là assise sur son lit, se rallongeait entraînant avec elle le jeune homme. Darcia se laissa emporter. Petit à petit leurs langues commençaient à se trouver au milieu de se baiser de plus en plus sensuel. Sa main gauche toujours libre se faufila sous la couverture pour se poser sur le genou de la belle et lentement il remonta le long de sa cuisse jusqu’à ce qu’il perçoit les bords en dentelles de la nuisette, comme lors de sa rêverie érotique sauf que cette fois c’était bien réel. Le bout de ses doigts s’y glissa pour remonter légèrement sans se précipiter pour autant. Il voulait l’exciter et usera de tous les subterfuges pour y arriver.
Il cessa, après un temps indéfini, le baiser pour l’embrasser sur la joue puis descendre petit à petit jusqu’à son cou puis son épaule, l’embrassant à chaque fois avant de se relever. Ce baiser l’avait émoustillé, autant parce que cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas été avec quelqu’un que pour ce qui allait arriver ensuite. Il se sentait « grandir » et pendant qu’il avait encore ses esprits, alla fermer soigneusement la porte après y avoir jeté un regard.
S’ils ne faisaient pas trop de bruit et qu’elle n’attendait pas de visite, ils devraient être tranquilles pour la matinée.

Se retournant vers sa belle, il ne put s’empêcher de rire devant son regard étonné, et presque apeuré de le voir soudainement se lever et se diriger vers la porte. Il retira sa blouse qu’il jeta sur le dossier de la chaise et ôta ses chaussures avant de se rallonger à ses côtés, leurs mains se nouant immédiatement, l’autre retournant sous la nuisette, prête à la faire frémir de plaisir. Ils s’embrassèrent à nouveau.

« - Ne t’inquiète pas ma belle, je ne m’en irai pas avant de t’avoir comblé bonheur…et de plaisir. »

En réponse, elle reçut un sourire tendre et un regard de braise de la part du médecin.Il lui rendit à son tour un baiser, l’embrassant tendrement avant de laisser la passion les enflammer petit à petit. Elle glissa sa main dans son dos glissant sous sa blouse puis sous sa chemise, avant d’entrer en contact avec sa peau, tout en l’attirant un peu plus vers le lit. La belle Orchidée se rallongeait entraînant avec elle le responsable de ses désirs. Leurs langues commençaient lentement à entrer dans une danse douce et langoureuse, tandis que la main du médecin vint se poser sur le genou de Saphire et lentement elle sentit qu'il la remonta le long de sa cuisse jusqu’à la nuisette qu'elle portait encore. Le bout de ses doigts à elle glissa sur la peau nu de son dos, frôlant à peine celui-ci, le sentant frémir sous ses doigts. Elle se doutait qu'il voulait l’exciter par ses caresses, qui remontait sur sa cuisse, mais elle était bien décidé à le faire craquer avant cette fois-ci.
Le baiser fut rompu par le médecin, qui ensuite, l’embrassa sur la joue puis descendit lentement jusqu’à son cou puis son épaule, l’embrassant à chaque fois avant de se relever. Elle sentait son cœur s'accélérer encore plus, son souffle lui aussi commençant à s'accélérer. Ce n'était peut-être que des baisers, mais cela rendait la jeune blonde encore plus désireuse de recevoir un peu plus d'attention de son médecin. Le médecin s'arrêta ensuite, et au grand désespoir se dirigea vers la porte après y avoir jeté un regard. Elle crut presque sur le coup qu'il allait passer la porte et disparaitre dans les profondeurs de l'hôpital. Ce fût comme si son cœur cessait de fonctionner, et quand il ferma la porte à clé et se retourna de nouveau vers elle, il se remit à battre. Il retira sa blouse qu’il jeta sur le dossier de la chaise ainsi que ses chaussures avant de se rallonger à ses côtés, leurs mains trouvant l'autre, la seconde main du médecin retournant sous la nuisette. Leurs lèvres se mêlèrent de nouveau, puis après quelques secondes, le médecin reprit la parole.

« - Ne t’inquiète pas ma belle, je ne m’en irai pas avant de t’avoir comblé bonheur…et de plaisir. »

Cette phrase rassura la jeune blonde qui se blottie contre lui, allant chercher ses lèvres dans un nouveau baiser délicat. Elle était contente qu'il ne soit pas partit, aussi bien parce qu'elle ne voulait pas s'arrêter en si bon chemin, mais aussi bien parce qu'elle s'était totalement éprise de lui. Elle se demandait sans cesse si il éprouvait plus qu'un simple désir du à son physique pour elle. Elle voulait l'arrêta là, lui demander ses sentiments à son égard, ne pas être sienne juste parce qu'il le veut. Elle voulait être désirée plus que cela par lui, elle voulait le voir la supplier de s'offrir à lui, elle voulait l'entendre dire qu'il l'aimait et qu'il ne voulait pas d'elle seulement pour une seule nuit, une seule matinée, même si cela devait être une superbe matinée de plaisir et de jeux interdits.

Pour cela, elle rompit doucement le baiser, et joua avec ses mains, qu'elle passa sur le bord de son bas. Elle remonta ensuite doucement ses mains, les remonta par dessus la blouse, et les fit glisser jusqu'à ces lèvres. Là, elle posa un doigts devant ses lèvres, comme un barrage. Cela lui faisait mal de faire ça, mais elle voulait savoir comment il l'a voyait. Après tout, si leurs sentiments étaient égaux, l'acte serait bien meilleure avec cette point d'amour, bien meilleur que lorsque l'acte est fait sans sentiments. Elle voulait alors lui poser la question indirectement, sans rien dire. Bon, c'est sur que si il comprend pas qu'elle veut savoir ce qu'il ressent, ca ne le fera pas, mais au pire, elle pourra toujours lui dire de vive voix. Elle le regarda profondément, avec une infini tendresse. Elle était là, passive, comme si elle attendait qu'il prononce les paroles qui ferait plaisir au cœur de l'Orchidée. Elle ne voulait plus de relation sans lendemain. Si il ne ressentait pas pour elle ce qu'elle ressentait pour lui, alors elle ne s'offrirait pas. Elle voulait changer, elle ne voulait pus être cette jeune femme qui allait de droite à gauche sans projet d'avenir avec quelqu'un.

(désolé un peu court > <)

Darcia n’était pas le genre de personne à agir sans réfléchir ni sans connaître les conséquences de ses actes. Il était tout en contrôle et en retenu, parfois même trop. Cela peut s’expliquer par plusieurs choses ; son éducation stricte et le respect de sa profession. Jamais il ne fera quelque chose qui mettra la santé de l’un de ses patients en jeu, jamais. Aujourd’hui la pratique médicale moderne est régie par des lois, des règlements et bien souvent par un code de déontologie ou d'éthique. Cela sert au bon fonctionnement de l’hôpital notamment même si quelques entorses y parfois dissimulées. Cependant une chose lui tenait encore plus a cœur que ces règlements, le serment d’Hippocrate. Comme tout les nouveaux étudiants futurs médecins. a pour principal objectif de rappeler au nouveau médecin dans un cadre solennel qu'il est lié à des obligations légales, morales et éthiques. Darcia l’avait récité dans sa tête durant sa nuit de travail peu avant de rejoindre Saphire dans sa chambre. Un passage en particulier lui posait problème :

« Dans quelque maison que je rentre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves »

De la vient la déontologie de ne pas mélanger le travail et l’intimité. Alors pourquoi était il maintenant dans le lit d’hôpital certes, mais dans le lit quand même de sa première patiente depuis sa prise d’emplois. Pourquoi l’embrassait-il ainsi. Oui il aime les femmes et le sexe, mais jamais il n’aurait pris un tel risque. Et pourtant ils étaient bien collés l’un à l’autre, enlaçant leurs doigts, caressant le corps de l’autre avec l’envie d’aller toujours plus loin. Tout deux avaient la même envie et la même image en tête, celle de faire durer le plaisir jusqu’à ce que l’autre craque pour enfin se donner entièrement au plaisir.

Il avait la chaire de poule lorsque les doigts de la belle le frôlèrent, remontant lentement le long de son dos. Elle avait exactement la même réaction avec la main de son docteur lui caressant la cuisse, flirtant avec la limite de sa nuisette sans s’y glisser entièrement pour autant. Elle avait déjà pu sentir ces mains expertes lui massant la nuque et nul doute qu’à d’autres endroits, elles la feraient décoller immédiatement vers des ciels encore insoupçonnés.
Sa notion du temps et de l’espace devenait aussi trouble que son esprit. Et ce n’était pas la belle blonde à moitié nue ronronnant dans ses grands bras protecteurs qui l’aidait. Surtout lorsqu’elle le repoussa légèrement, un doigt sur ses lèvres, le regardant comme jamais on l’avait encore regardé. La peur, l’admiration, le désir ou la haine…il avait déjà vu beaucoup de regard mais ces deux yeux bleus pétillant de bonheur. Le regard d’une femme amoureuse. Pire encore, le regard d’une femme amoureuse attendant une réponse. Lui si solide fut désarçonné par ce regard a la fois magnifique et effrayant. Les pensées du médecin habituellement si calmes et maitrisées s’étaient transformées en une véritable tornade.
Que faire ? Qui devait-il écouté ? Sa tête, son cœur et ses couilles ont chacun leurs mots à dire. Sa tête ou plutôt sa raison lui rappelait le serment d’Hippocrate, les risques pris car il était évident que si un membre du corps enseignant ou même une simple infirmière ou patients le trouvant en pleine action avec une jeune patiente mineure consentante ou non, sa carrière tant en cet hôpital que général était terminée. Ses principes, son éducation…tous était d’accord avec cela.
Mais tout le monde n’était pas de cet avis. Son désir lui hurlait de ne pas laisser passer une telle occasion. Il n’avait pas couché depuis des mois, il n’avait pas eu trop de « stimulations » depuis plusieurs jours du fait de son voyage notamment. Oui il avait envie. Oui il avait envie d’elle et en ce moment uniquement d’elle car il faut bien avouer qu’il était difficile de trouver plus désirable et sexy que cette jeune adolescente blonde en nuisette transparente, n’attendant qu’une chose de vous…la rendre heureuse en tout point. Son corps de rêve l’excitait de plus en plus. A nouveau ses pensées tournoyèrent dans sa tête. Les hommes savent parfaitement que lorsqu’une telle envie se fait ressentir, il leur est quasiment impossible de l’ignorer sans la satisfaire un minimum.
Enfin son cœur…Le voila l’arbitre de ce rude combat. L’élément qui fera pencher la balance. Lui seul pouvait trancher et il allait devoir le faire rapidement car entre-temps Saphire le repoussa légèrement comme attendant une phrase particulière. L’expression de son visage d’ange parlait d’elle-même. Il lui fallut un moment avant de trouver ce qu’elle espérait. Comment pouvait-il en être autrement venant d’une jeune femme et après leur conversation de la veille. Son regard ne trompait pas, elle l’aimait. L’aimait-il également ? Voila la question qu’elle lui posait. Elle était parfaitement en droit et avait même raison de la poser. Les filles faciles se mettant aux devant d’une vie paradoxalement plus difficile. Il n’aura rien d’autre tant que son cœur ne se sera pas mis au diapason du sien…

Cependant, notre belle plante oubliait quelque chose de fondamental. Comment pouvait-elle demandé et en l’occurrence contraindre, son médecin de l’aimer alors qu’ils ne se connaissent seulement depuis moins de 24h…Tant bien même il répondrait positivement, cela n’aurait aucune valeur du fait de son manque de crédibilité. Elle ne connait rien d’autre que son nom et son métier. Lui-même ne sait presque rien de sa vie quotidienne, de ses goûts, de ses rêves… Dans sa tête la réponse raisonna immédiatement. Non il ne l’aimait pas. Du moins pas maintenant, pas encore. Darcia ne comptait pas se contenter de cette matinée enflammée si toutefois elle aura lieu. Il avait envie de la revoir, de mieux la connaître, de recommencer cette matinée dans une chambre plus intime peut-être. Il lui apportera le petit-déjeuner de la même façon. Sortir avec elle ? Pourquoi pas. La revoir ? Certainement. Lui dire qu’il l’aime ici, maintenant ? Non…
Son esprit s’apaisa et il la regarda avec tout le désir qu’un homme peut avoir pour une femme. Elle sera à lui, il en est convaincu. Tout comme elle l’avait fait, il lui parla le langage du regard. Son œil bleu perçant lui envoya puissamment la réponse tant attendu. Il lui donnait l’assurance que ca ne s’arrêtera pas après cette matinée. Sa voix grave raisonna dans le silence lourd de la pièce. Plus rauque et posé que jamais, faisant son charme.
Il embrassa le doigt posé sur ses lèvres prenant la petite main dans la sienne. Elle était si douce, si fragile, si brulante…Il la déposa par-dessus sa blouse, juste sur son cœur. Ce dernier battait fortement, elle pouvait le sentir. Il ne faisait pas semblant d’apprécier ce moment. Il lâcha alors ces simples mots avant d’attendre sa décision finale qui déterminera si ils se reverront ou non, si elle redeviendra définitivement sa simple patiente ou non…

« Saphire…Laissons le temps au temps… »

Deux fois, cela devenait-il déjà une habitude entre eux deux ? Pour la deuxième fois les deux jeunes gens se mettaient à flirter au sein même de l’hôpital en dépit de tous les règlements. Et maintenant pour la seconde fois, alors que l’atmosphère montait en intensité pour ne pas dire en chaleur. Les petits jeux de regards avaient cédés la place à d’autres jeux bien plus agréables encore. Darcia a décidé de mettre de coté ses principes et pour une fois laisser son cœur mener la barque, cédant aux avances de la belle Saphire. Sa belle Saphire qui semblait réellement éprise de lui, prête à être sienne. Et cela lui plaisait fortement. Mais alors pourquoi soudainement elle le repousse, comme attendant une preuve ou une réponse démontrant qu’il mérite de rester avec elle. Il finit par deviner ou plutôt soupçonner ce qu’elle voulait. C’était une preuve de ses sentiments. Mais même avec tout le respect et l’attirance qu’il avait pour elle, cela était malheureusement impossible. Cependant il ne la jugera pas, et l’abandonnera encore moins. Et cela il réussit à le lui faire comprendre par un regard…Un regard où dans le clair de ses yeux se mêlait tendresse et sincérité et passion. Il lui répondit alors de laisser le temps au temps…De leurs laisser le temps à tout les deux et qui sait, peut être aura-t-elle la réponse qu’elle attend réellement.

Il ne savait pas si elle avait saisit ce qu’il essayait de lui dire et encore moins si elle l’acceptait. Il ne pouvait pas lu mentir et encore moins se mentir à lui-même. Et il était forcer d’admettre que ca lui briserai le cœur de ne pas terminer cette matinée autrement qu’en la serrant dans ses bras après s’être tout deux combler de plaisir comme jamais.
Ainsi fut-il plus que soulager et ravi lorsqu’elle lui sourit et que sa petite main, si douce, si jeune et déjà si experte quitta son cœur pour remonter le long de son torse avant de le quitter. Elle se redressa, ce qui eut le don de le faire douter l’espace d’une seconde. Il la voyait déjà se revêtir et le chasser de sa chambre avec un sourire triste…Mais au lieu de ca, elle retira avec sensualité sa nuisette. Wow ! il laissa échapper sa surprise malgré tout le contrôle qu’il pouvait avoir sur lui-même .Cette surprise était due non seulement par le geste de la belle qu’il n’attendait pas de si tôt que par le spectacle qu’elle lui donnait de voir… Quelle beauté ! Quel érotisme se dégageait d’elle tandis qu’elle se dévoilait en sous vêtement en dentelle noir sous ses yeux !
Au cours de sa vie étudiante, il avait eu quelques aventures sans lendemain, se consacrant majoritairement et prioritairement à ses études. Il n’a jamais eu de relation longue et que dieu en soit témoin, il n’avait jamais eu de fille aussi sexy dans son lit ! Son soutien gorge en dentelle moulait parfaitement sa poitrine parfaite, plus belle que jamais. De ses hanches à sa croupes, il n’avait qu’une envie c’était de glisser ses doigts le long de ses formes, découvrir chaque centimètre de son corps, gouter sa peau dont l’odeur fruité l’hypnotisait. Il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits car la diablesse lui faisait perdre la tête et le contrôle de ses pensées. Le contrôle de son corps était également mis a rude épreuve, se dernier réagissant immédiatement comme tout mec le ferait. Il remercia intérieurement son jean de masquer son érection grandissante quelle ne tarderait pas à découvrir et apprécier.

« Eh ben..Je crois que beaucoup d’hommes tueraient pour être à ma place. Il va falloir que je soit à la hauteur de ce que tu m’offre »

Il lui adressa un clin d’œil coquin avec un petit sourire en coin, comme une promesse de la suite cette matinée décidément radieuse.
Ce fut Saphire qui prit les devant la première, profitant que son médecin reprenait ses esprits. Elle l’enlaça tendrement, glissant sa main derrière sa nuque pour l’amener contre elle. Dans cette étreinte il ressentit toute sa volonté de le garder prés d’elle, toute l’attirance qu’elle avait pour lui. Cela le toucha plus que jamais…Les lèvres douce de l’adolescente se collèrent aux siennes timidement puis de plus en plus ardent. Le baiser devint vite langoureux, sa langue habile jouant avec celle de Darcia. A partir du moment où il avait enlevé sa blouse et rejoint la belle dans son lit, il n’était plus un « médecin « mais un simple jeune homme avec sa chérie. Ils étaient à égalité et au fur et à mesure qu’elle l’embrassait il se sentait décoller vers des cieux jusqu’alors infondés. Elle cassa le baiser pour coller sa joue contre celle de son homme, lui susurrant à l’oreille avec douceur et malice, sa langue venant la caresser lentement ce qui lui fit l’effet d’une décharge électrique dans tout le corps. Il était aux anges.

« je saurais me montrer patiente sur ce point, alors. »

« Et je saurais te faire patienter jusqu’à la, fait moi confiance ma belle »

Cette fois ce fut lui qui alla l’embrasser avec ardeur. Son cœur, son corps entier brulait de désir pour elle. Les mains de l’Orchidée glissaient maintenant le long de la chemise du médecin, faisant adroitement sauter boutons après boutons pour au final la faire glisser lentement et la jeter au pied du lit. Darcia était de grande corpulence et les années de voyages et de sports, principalement la natation lui avait sculpté un corps solide et taillé dans le marbre. De larges épaules, un torse agréablement dessiné…Ce qu’elle avait sous les mains semblait lui plaire puisqu’elle fit glisser ses doigts le long de ses muscles puissants, sentant les battements de son cœur ainsi que sa respiration saccadé. Saphire ne se doutait pas encore de ce que lui réservait son bel étalon.
Après l’avoir aidé à lui retiré sa chemise, tandis qu’elle l’embrassait avec douceur le long de son coup, a genou sur son lit alors qu’il était assis sur le bord du lit, il déposa ses mains dans le dos de la blondinette. La première remonta jusqu’à son cou, enfouissant ses doigts dans sa magnifique chevelure d’ange. Il lui caressait presque amoureusement les cheveux, puis sa joue, déposant de temps à autres un baiser dans le creux de ses lèvres après y avoir redressé une mèche tombant devant ses yeux turquoise. La seconde moins plus coquine descendit très lentement prés de sa colonne vertébrale, effleurant sa peau soyeuse jusqu’à atteindre le bord en dentelle de sa petite culotte. Ils prenaient leurs temps mais ils ne fallait pas oublier qu’ils restaient dans un hôpital ou a tout moment on pouvait les surprend.
Sa main se posa sur ses fesses bien fermes et rebondies. Ah quel adorable petit derrière il avait la ! C’était un élément du corps féminin qu’il appréciait tout particulièrement. La pelotant légèrement, il ne voulait pas aller trop vite et attendait de voir ses réactions selon si elle voulait jouer les coquines ou pas. Sa main droite glissa lentement sous le sous vêtement cette fois sans pour autant l’enlever, caressant son beau derrière tout en continuant de l’embrasser avec tendresse et passion. Torse nu dans les bras de Saphire, il lui appartenait pour la matinée du moins et elle pouvait en faire ce qu’elle voulait et il comptait le lui faire comprendre.

« « -Saphire, aujourd’hui je suis tout à toi…tu peut faire de moi ce que tu veut »

Il lui sourit et après un énième baiser langoureux roula sur le lit l’entraînant avec elle si bien qu’elle se retrouva sur lui, l’enfourchant. Cette position très intime ne faisait que ressortir la beauté merveilleuse de l’adolescente ainsi que ses formes aguichante. Darcia était dans tous ses états, et cela était bien de sa faute à elle. Sa main coquine abandonna le postérieur de la jeune blonde pour un instant, se déposant tout comme la main gauche sur ses hanche, remontant très lentement jusqu’aux bords de sa poitrine. Il était presque timide et maladroit tellement il avait peur de faire quelque chose de déplacé. Quoiqu’il en soit, si jamais elle doutait de l’effet qu’elle pouvait procurer sur son médecin, la bosse que laquelle elle était assise en était une preuve irréfutable. Darcia était trahit par son propre corps…le pauvre, comment allait-elle le punir ? La matinée promettait d’être inoubliable…

Ce matin là, le soleil était au rendez-vous, la nature se réveillait en même temps que les malades. Les gazouillis des oiseaux dans le parc se mélangeaient aux « bonjours » des infirmières faisant leurs tournées matinales. Les locaux étaient calme, il n’y avait pas de surcharge de malade et la nuit avait été paisible. Les médecins et infirmières nuit ayant terminés leur journée, s’en allaient l’un après l’autre cédant la place à l’équipe de jour, tous sauf un. En effet, si dans toutes les chambres les malades émergeaient en silence de leurs sommeil, prenaient leurs petit-déjeuner ou regardait la télé, une des patiente et pas des moindres était en train de profiter d’un réveil un peu spécial et cela pour son plus grand bonheur.
Si la chambre 208 était occupée depuis plusieurs mois déjà par un vieil homme, Mr Ledoux, hospitalisé suite à un infarctus du myocarde, la chambre 209 était elle occupée par une jeune patiente beaucoup plus sulfureuse. Par chance le pensionnaire d’à côté du fait de son âge avancé était un peu dur de la feuille. Et si ce vieux monsieur avait pour petit-déjeuner un simple petit pain avec de la confiture et un thé, Saphire avait un médecin. Et oui la belle était à moitié nue dans son lit à cheval sur son docteur dont elle devenait de plus en plus accroc.
Les petits jeux de regard avaient cédés place aux jeux de mains. Et qui le dicton « jeux de mains, jeux de vilains » prenait une tournure un peu particulière dans ce contexte. Darcia dans le rôle du vilain dont l’une de ses grandes mains vint caresser avec plaisir les belles fesses de sa petite blonde adorée. L’autre plus sage lui caressait ses doux cheveux. Cependant Mademoiselle Saphire n’était pas mal non plus dans le rôle de la vilaine, venant glisser ses mains le long du torse bien bâti de son homme, lui ouvrit sa chemise et la lui retira délicatement avant de savourer tant avec ses beaux yeux bleus que avec ses douces mains le présent qu’elle venait de déballer comme un cadeau de noël.

Darcia ne regrettait pas son choix d’avoir ignorer sa raison pour une fois. De toute façon, il était maintenant trop tard, la jolie blonde ayant un impact terrible sur lui. Quel bonheur de pouvoir l’embrasser ! De pouvoir sentir son corps chaud et charnels sous ses mains. Il devinait les battements de son cœur (à elle) et pourtant il était loin d’imaginer à quel point elle était bien avec lui. Si elle aurait été un chat, elle ronronnerait.
Quoiqu’il en soit, si chaque matinée ou soirée avec elle se passait ainsi, il serait difficile de se passer d’elle. Mais il en était pas là, son seul soucis actuellement était de le faire gémir de plaisir comme jamais dans sa vie. Pour cela, il lui donna tout d’abord l’autorisation de faire ce qu’elle voulait de lui. Par cela il espérait que l’inspiration et l’expérience de l’Orchidée le comble de désir, ce à quoi il y répondra évidemment.

« -Je vais bien en profiter alors »

Son petit sourire malicieux et son clin d’œil coquin la rendait irrésistible. Elle était trop craquante ce disait-il. « Je vais bien en profiter alors », cela promet ! Et visiblement ce n’était pas des mots en l’air car la coquine avait quelques idées en têtes. Bien positionnée à califourchon sur sa proie, elle pouvait gérer comme bon lui semblait la situation. L’un en jean, l’autre en sous vêtement, Darcia glissa ses mains expertes le long du corps de sa patiente jusqu'à sa poitrine, il n’y alla pas de suite préférant attendre le feu vert de la demoiselle. Ce feu vert arriva rapidement, lui signalant qu’il pouvait tout lui faire également.
En effet la petite coquine remarqua l’excitation de son médecin. Ce dernier était bien naïf de penser qu’il pourrait se contrôler et le dissimuler dans une pareille situation. Elle l’excitait comme jamais il ne l’avait été dans sa jeunesse. Saphire sentit la bosse de son jean et décida de jouer avec lui un peu. Se positionnant bien au dessus, elle ondula avec sensualité sur le corps de son étalon, ses mains parcourant le torse et les pectoraux de Darcia, sa langue venant retrouvée sa jumelle pour l’embrasser de nouveaux. Cela était le cas pour l’un comme pour l’autre, ils ne pouvaient s’empêcher de s’embrasser avec passion et tendresse. Leurs deux sexes frottaient l’un contre l’autre, séparé uniquement par deux couches de vêtements mais l’effet était au rendez-vous…Si lui prenait plaisir à la sentir se coller à lui ainsi, laissant deviner ce qui se passera par la suite lorsqu’il sera en elle, elle s’excitait d’imaginer la puissance et la taille de ce sur quoi elle bougeait.
Darcia en profita alors pour venir s’occuper un peu de la poitrine tout simplement sublime de Saphire, dégrafant son soutient gorge avant de le déposer au pied du lit avec les autres vêtements. Sa main gauche remonta alors pour venir caresser délicatement et tendrement sa poitrine, la main droite venant rapidement en renfort. Ferme et généreuse, tout comme le caractère de la demoiselle. Tout comme lorsqu’il lui pelotait les fesses, il devina l’excitation qu’il lui procurait. Déjà sa poitrine pointait et au fur et à mesure qu’il les lui caressait et embrassait avec douceur et malice. Elle semblait particulièrement apprécier les caresses de ses mains à la fois puissante et délicate, ainsi que de sa langue. Se sentant défaillir, elle décida de prendre les choses en mains ou plutôt prendre « la » chose en main.

Saphire visiblement très efficace pour déshabiller son médecin descendit le long de son torse jusqu’à son jean. La ceinture ne fit pas long feu de même que le jean. Il l’aida à le retirer mais elle ne lui laissa pas le temps de reprendre ses caresses que déjà elle le forçat à se rallonger. La belle savait ce qu’elle cherchait, ce qu’elle voulait. Ses yeux bleus innocent (très innocent lol) se posèrent sur la grosse bosse formée par la verge en pleine érection du jeune homme. Elle sourit perversement et se mordant les lèvres (ce qui en soit la rendait totalement irrésistible). Elle posa sa main sur le boxer et recommença à exciter Darcia en la lui caressant. Complètement à sa merci (le pauvre on va le plaindre), il la laissa faire. Au bout d’une minute, était-ce par lassitude ou bien parce qu’elle jugea que son bel étalon était «à point», elle glissa une main coquine dans le boxer et saisit le membre du médecin pour le sortir à l’air libre (enfin libre devait-il se dire !). Elle lui baissa le boxer afin de dégager entièrement le sexe ainsi que les bourses et reprit ses caresses plus excitantes que jamais.
Darcia observa le visage de sa tendre amante et nota la flamme plus brillante que jamais flamboyant aux creux de ses yeux. Se mordant les lèvres en regardant avec une envie dévorante la queue de belle taille qu’elle tenait dans sa main, Saphire s’imaginait déjà mille et une coquinerie avec. D’une corpulence plutôt imposante, le médecin avait également hérité d’un sexe d’une belle taille (rien d’exagéré pour autant, attention !) , une vingtaine de centimètre et bien droite ce qui semblait convenir à ravi à l’Orchidée dont la main douce et pourtant bien habile le branlait lentement, glissant de haut en bas sans oublier d’insister sur le gland gonfler. Inutile de vous dire que Darcia était au paradis et que déjà il se disait que la matinée allait être très éprouvante avec sa vilaine petite coquine adorée.

« -Je crois que les choses sérieuses vont commencer. Ca va être très difficile de te résister Au moins j’ai l’air d’être à ton gôut. »

Souriant de ce qu’il lui disait, Saphire était résolu à lui procurer un maximum de plaisir en premier. Sa main droite cessa un instant de le caresser pour venir y déposer un petit baiser tendre sur le gland puis ce fut le paradis…Sa petite langue vint jouer avec le bout du sexe du docteur (qui n’avait plus rien d’un médecin d’ailleurs, nu dans un lit d’hôpital en train de se faire une gâterie avec une patiente). On devinait une certaine pratique de la part de la jeune fille, cela n’était évidemment pas sa première fellation. Elle savait s’y prendre pour exciter un homme, et lorsque ce dernier lui plaisait autant, cela en devenait divin. Elle lui adressa d’abord quelques coups de langue sur son gland avant de descendre tout le long en l’embrassant, sa main tenant toujours fermement la base du sexe. La langue remonta d’une seule traite le long du membre plus gros et dur que jamais. Un coup d’œil vers Darcia lui donna la preuve qu’il appréciait plus qu’un peu ce qu’elle lui faisait et qu’il était déjà parti vers une autre galaxie.
Sa langue ayant terminée de jouer et d’explorer le sexe de son homme, elle entrouvrit ses lèvres roses pour avaler centimètre par centimètre le membre dur. Ne pouvant la prendre en entière dans sa bouche elle commença à le sucer lentement, avec tendresse, en y retirant un grand plaisir elle aussi. Après tout elle était sur un lit d’hôpital en petite culotte, en train de sucer un médecin ou plutôt « son »médecin plus âgé qu’elle dont elle était tombé amoureuse et pouvant se faire surprendre à tout instant.

« - Aaaah oui quel pied ! Ne t’arrête pas ma belle. Profite en bien tu as raison car après ce sera ton tour héhé. »

La petite Saphire s’affaira à sucer, lécher et branler avec amour son médecin durant plusieurs minutes, la notion du temps leur échappant complètement. Il était aux anges et elle aussi. Savoir qu’elle faisait à ce point du bien à son homme la comblait et puis il faut dire qu’elle s’imaginait plus d’une chose avec ce qu’elle avait en bouche. Se sentant prêt de craquer, Darcia lui fit signe qu’il allait venir si elle continuait sur ce rythme. A elle de décidé si elle voulait le faire jouir maintenant dans ses mains ou entre ses lèvres ou bien de laisser son médecin dans un état tel qu’il allait lui sauter dessus immédiatement. De toute façon, outre le fait de n’avoir rien « fait » depuis un bon moment, avec Saphire dans son lit, il était certains de pouvoir se redressé très rapidement après.
Pendant qu’elle choisissait, sans cesser pour autant ses jeux de langues avec sa verge, il décida de reprendre un peu de contrôle dans tout ca. Se redressant sans pour autant la faire cesser, il la fit pivoter légèrement afin que son beau petit derrière bien ferme et son intimité soit a porté de main. La mettant un peu perpendiculaire à lui, sa main gauche glissa de nouveau sous sa culotte en dentelle pour venir lui caresser les fesses qu’il aimait beaucoup, tandis que la droite passa entre ses jambes et par-dessus le tissus pour venir la câliner un peu. Il remarqua alors que l’endroit était déjà bien humide…

« - Et bien dis donc ! Je vois que ma petite coquine est déjà toute mouillée. Qu’est ce qui t’excite à ce point dit moi ? ^^ «

Il la taquinait un peu, ayant envie de la provoquer un peu pour l’entendre. Cela l’excitait encore plus. Tandis qu’il attendait sa réponse, sa main droite commença à lui caresser son intimité de plus en plus intensément. Une fois qu’elle lui eut répondu, il lui baissa sa petite culotte a hauteur des genoux et rien qu’a la vue il aurait pu jouir une nouvelle fois. Plus perverse que jamais, ses doigts frôlèrent la peau de son intimité parfaitement rasé mais plus sensible que jamais. Allant et venant le long de ses lèvres gonflées de désirs et brulante. Passant au dessus de son petit clitoris, ses doigts expert commencèrent à le titiller afin de l’exciter grandement et déjà quelques gémissement lui vinrent à l’oreille. Après tout elle l’avait bien cherchée la vilaine en l’ayant aussi bien excité. Dieu que c’était bon…Cela ils se le disaient tout les deux.

Notre bon médecin au sang-froid redoutable et a la maîtrise exemplaire ne maitrisait plus grand-chose. D’ailleurs son sang-froid avait pris un léger coup de chaud depuis que la jeune adolescente s’occupait de son membre durcit au maximum. Il faut dire la belle ne ménageait pas ses efforts pour obtenir ce résultat. La lueur qui brillait dans ses yeux, la teinte rosit de son doux visage ou peut-être tout simplement l’humidité de sa culotte le lui indiquait. Et oui visiblement notre belle coquine blondinette s’excitait de la situation. Etait-ce de savoir qu’elle était entièrement responsable de cette belle érection ? Ou bien d’avoir ce gros membre bien dur dans sa petite bouche et qu’elle s’en régalait ? Ou enfin peut-être que c’était tout simplement les deux avec en plus le risque à tout instant de se faire surprendre en train de sucer son médecin chéri…Y a des jours comme ca.
Une fois n’est pas coutume, Darcia ne maitrisait plus grand-chose de la situation, la coquine s’occupant à merveille de lui l’obligeant à se concentrer de toute ses forces pour ne pas venir trop vite et gâcher la fête. Il ne pourrait dire la dernière fois qu’on lui avait fait ce genre de gâterie, peut être sa dernière copine de fac ou bien lors d’une rencontre avec une patiente dans un de ses voyages…En tout cas aucune n’égalait celle la. La petite langue chaude et humide parcourait sa queue de long en large, l’embrassant de temps à autres avant de revenir suçoter son gland puis d’avaler à son maximum le long sexe. Sa main droite continuait de le tenir fermement, branlant légèrement sa base, la gauche s’occupant de lui caresser les bourses de temps en temps afin de faire monter en lui le plaisir. Et il montait c’était le cas de le dire ! Après quelques longues minutes, il ne saurait le dire précisément, il sentit la sauce venir. Il prévient Saphire qui lui répondit immédiatement qu’elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin désirant le faire craquer pour de bon.

Toucher (gentiment) dans son orgueil et elle le payera cher plus tard. Ne voulant pas venir sans s’occuper d’elle, il prépara la riposte en lui faisant pivoter son bassin d’un quart de tour afin qu’elle continue de le sucer langoureusement comme elle le faisait si bien. Cependant dans cette position, une certaine zone l’intéressant fortement lui était désormais disponible. Profitant du fait qu’elle était occupée, il passa à l’attaque en glissant une main dans sa culotte de dentelle afin de retrouver le petit cul de sa patiente. Il s’imagina un instant, alors qu’ils se reverraient dans un endroit quelconque peut être même public, l’exciter en lui caressant les fesses. Cette idée lui plaisait bien. A la façon dont elle remuait son derrière il savait qu’elle appréciait ses caresses, et cela encore plus lorsqu’elle sentit quelque chose lui toucher son intimité déjà bien chauffé par la situation. De sentir les doigts habiles de son médecin adoré caresser ses petite lèvres avant de lui titiller son bouton d’amour la firent mouiller de plus belle. Le jeune homme glissa ses doigts sous le morceau de tissus et repris ses caresses de plus belle. Pour l’instant il se contentait de la câliner, d’exciter un peu son clitoris très sensible, mais ce n’était que le début. Darcia la provoqua de nouveau en soulignant le fait qu’elle était déjà inondée, lui demandant a quoi cela était dû. La réponse était évidente mais il avait simplement envie de l’entendre de sa bouche.

« -Hum... et bien, je dirais bien que c'est un certain médecin de ma connaissance »

La voir se mordre les lèvres afin de se retenir de gémir puis après lui avoir sourit avec toute la perversité et l’envie possible était tout simplement irrésistible. Pour s’empêcher de défaillir, elle suça avec plus d’intensité que jamais la belle queue qu’elle tenait. Augmentant le rythme de ses allées et venues ainsi que les mouvements de sa langue coquine, Darcia fut incapable de résister bien longtemps et éjacula en quantité (rappel qu’il n’a rien fait depuis un bon moment et vu la dose d’excitation…hum bref). Cela ne sembla pas gêner plus que ca la magnifique Orchidée qui n’en attendait pas mieux. Plaçant le gland prêt à exploser sur sa langue, elle accueillit avec plaisir la précieuse semence tout en continuant de le branler jusqu'à ce qu’il s’arrête. Regardant comme jamais on l’avait regardé Darcia, elle savoura lentement ce qu’elle avait ardemment provoqué jusqu'à la dernière goutte. Limite elle le provoqua en montrant sa langue propre comme preuve, et s’occupa maintenant de faire redresser le bel engin qui n’avait pas fini de travailler. Darcia soupirait bruyamment, lâchant un grognement sourd par moment. Il ne voulait pas être trop bruyant pour deux raisons, ne pas se faire remarquer mais aussi ne pas lui donner l’impression qu’elle le contrôlait entièrement sur ce moment la. C’était un dominant et elle allait vite le comprendre.

« - Aaaah huummm petite coquine va !! Tu m’as bien vidée. Mais tu ne perds rien pour attendre, maintenant c’est à ton tour de gémir »

Restant chacun dans la même position, la belle n’était pas rassasiée pour autant, elle voulait maintenant le sentir bien en elle mais pour cela il lui faut d’abord lui redonner toute sa vigueur. Et rien de mieux pour cela que de bon coups de langue sur le gland tout en le branlant de plus belle. Au pire elle pourra toujours utiliser sa belle paire de sein pour le refaire durcir, elle avait plus d’un argument a faire valoir. Darcia ayant joui, il était temps de lui rendre la pareille. Il lui baissa sa culotte a mi genoux dans une position particulièrement sexy pour ne pas dire « bandante » ce qu’il ne tarda pas de faire (notamment avec l’aide de mademoiselle). Il la caressa de nouveau avant de cette fois se redresser en position assise pour avoir une meilleure emprise. Alors qu’elle recommençait à le pomper gentiment, elle sursauta lorsqu’elle sentit quelque chose la pénétrer. L’un de ses doigts, le majeur bientôt rejoint par l’index droit venait de s’engouffrer dans son intimité aussi ruisselante que brulante. Darcia la doigta lentement d’abord pour qu’elle s’habitue à cette sensation puis accéléra le rythme afin de la mettre en position de faiblesse et de l’entendre gémir. A l’entendre et a voir comment elle mouillait, notre petite Saphire semblait apprécier le traitement de son docteur qui faisait démonstration de toute l’habilité de son doigtée.
Se sentant défaillir à son tour, la blondinette voulant garder les choses en mains se redressa, arrêtant à contre cœur ses doigts qui la fouillait perversement pour venir s’allonger sur son étalon. Retirant complètement sa culotte, elle se repositionna à cheval sur son étalon telle une amazone (ouah la métaphore de beau gosse XD). En petite coquine qu’elle était, comme tout à l’heure elle ondula sensuellement sur son docteur, frottant de plus belle sa petit chatte brulante sur le sexe de nouveau bien raide. Sentir ainsi l’engin caresser son clito l’excitait comme jamais si bien que n’en pouvant plus, elle saisit sans rien demander le sexe de Darcia et s’empala lentement dans un long gémissement de plaisir. Le gland entra en elle, puis chaque centimètre qui la pénétrait l’amener un peu plus prés de l’extase. La totalité du membre ne rentra pas, ce dernier touchant le fond extrêmement sensible de l’intimité de notre belle Saphire. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte, elle se raidissait sur le gros engin qu’elle avait maintenant en elle et débuta ses mouvements. D’abord lentement puis très rapidement elle accéléra la cadence pour calmer cette folle envie qui montait en elle. Bien évidemment Darcia était aux anges, son sexe compressé dans la chaleur et l’humidité plus qu’agréable de Saphire, mais que dire de cette dernière. L’Orchidée reconvertie amazone gémissait à chaque fois que le gland de son médecin frappait au fond d’elle, positionnant ses mains sur le torse.

Venant de jouir, Darcia pouvait tenir le rythme et décida de se venger de tout à l’heure. Voyant bien que sa petite fleure était dans tout ses états, il la laissa bouger à son bon vouloir, glissant ses mains sur ses belles fesses biens fermes qu’il pelotait en même temps qu’il la pénétrait. Quelques minutes à peine eurent raisons d’elle se son endurance, tellement excitée qu’elle était. Se penchant en avant afin d’embrasser avec toute la passion du monde l’homme qu’elle aimait et qui la comblait elle cessa d’imposer le rythme qui était maintenant imposer par son homme. Enlaçant son torse, leurs corps nus collé l’un à l’autre, elle se laissait maintenant pénétrer de plus belle, gémissant ouvertement, griffant et mordillant l’épaule et le torse de son grand amant. Ce dernier augmentait la cadence, allant de plus en plus vite et fort en elle ce qui la faisait grimper aux rideaux. Finalement au bout d’un moment de pur bonheur, elle jouit sur lui dans un cri que Darcia étouffa de son mieux de sa main. Il resta en alerte silencieux pendant quelques secondes, tendant l’oreille aux cas où les pas de quelqu’un un peu trop curieux viendraient. Saphire elle se remettait de son orgasme, continuant de remuer sur le sexe de son amant.
….Finalement au bout de quelques minutes, Darcia fut rassuré, personne ne les avait entendus, ils pouvaient continuer leurs galipettes.

La regardant avec tendresse, il lui remonta une mèche tombée devant ses yeux turquoise puis lui caressa la joue. Lui faisant signe de venir vers lui, il la cala dans le creux de ses bras le temps qu’elle récupère, l’embrassant alors plus tendrement et langoureusement que jamais.

« - Alors ma jolie, on est déjà épuisée ? Y en a une qui en redemande encore pourtant »

Pendant qu’ils reprenaient leurs souffles, sa queue était restée bien dressée, prête à l’emploi, et nul doute que la coquine l’avait remarqué et réclamerait bientôt un second round. Roulant de nouveau, il déposa la miss sur le lit et glissa au dessus d’elle. L’embrassant de nouveau avec amour, il joua un peu avec sa langue, s’enroulant l’une avec l’autre…Il brisa le baiser pour l’embrasser sur la joue, puis dans la nuque. Il lui offrit un petit suçon dans le con avant de continuer sa descente jusqu'à la séduisante poitrine, comme précédemment, sa main gauche la pelota légèrement afin de l’exciter, sa langue s’occupant de l’autre sein. Il l’embrassait, le léchait tendrement avant de suçoter l’un de ses bouts roses pointant de nouveau afin de l’exciter. Continuant ses caresses buccales, sa main gauche descendit un étage plus bas et vint stimuler de nouveau l’intimité de la belle, la caressant un instant avant d’enfouir en elle deux phalange comme avant qu’elle se mette sur lui.

« - Je vois que ma petite coquine a encore envie, c’est inondé par ici. Mais j’ai encore un petit quelque chose pour toi. Tu devine ce que c’est je suppose, mais en as-tu envie ? . Miam «

Dés que la jolie Orchidée se remit à soupirer de plaisir, il redoubla d’effort dans ses caresses. Quittant sa poitrine il se déplaça afin d’être idéalement placé entre les cuisses de sa patiente. Darcia était prêt à offrir un long cunni a sa patiente en remerciement de sa fellation et afin de la remettre sur pied pour le grand final. Venant de jouir, son corps était encore plus sensible qu’au début. Il attendait qu’elle se place comme elle préfère, sur le dos ou à quatre pattes. Elle avait si bien pris soin de lui, que dorénavant ce sera lui qui la comblera de bonheur. La matinée ne faisait que commencer… =p