Lorsque l'odeur des fêtes est là, arrive celle des gateaux... (pv Florence O'Connor)

Après une nuit très peu reposante durant la quelle le beau brun s'était penché sur son nouveau roman, encore en cours de création, le fait de ne pas avoir de pâtisseries à ce mettre sous la dents l'exaspéra profondément. En effet, on pouvait presque tout demander à Dimithrius si en retour on lui offrait une quelqu'onc douceur sucré... un macaron, un muffins, un diplomate, qu'importait la pâtisseries tant que s'en était une. C'est avec l'envie de ce faire ses propres merveilles que le matin il ce leva. Après un petit déjeuner composer... de pâtisseries, le jeune écrivain mystère ce dirigea vers la salle de bain où il s'empressa de prendre une longue douche tiède. S'attardant sur ses cheveux, puis sur le reste de son corps avec la simple intention de sentir bon et d'être comme à son habitude au maximum de l'hygiène corporelle. Après que l'eau ait été arrêter le jeune homme sortit de la douche, s'avança vers le lavabo d'un pas lents tout en s'entourant d'une serviette de couleur pourpre qu'il noua au niveau de sa taille. D'un geste de la main, il enleva toute la buée qui semblait obscurcir sa vision et après ce petit geste, le brun s'observa dans le miroir, profitant de ce cours moment pour regarder si sa peau au teint de lait n'avait pas de marque rouge et fut rassurer de voir qu'il n'y en avait pas. Après avoir mit un peu de crème hydratante sur son épiderme, il quitta sa salle de bain en prenant une autre serviette qui lui servirait à s'essuyer les cheveux sur le chemin de sa chambre.
Le tissu arriva bientôt sur le sommet de sa tête et frictionna celui-ci sur la petite cascade brune qui tombait sur ses épaules et ce jusqu'à ce qu'elles soit sèches. Il observa longuement son torse finement sculpté, dénué de toute pilosité et porta son regard un peu plus bas avec un sourire en constatant que sa récente épilation au laser avec vraiment marcher.

Assez vite, il enfila un caleçon de couleur noire qu'il ajusta de manière à n'avoir aucun plus qu'il ne devait pas y avoir, qui fut bientôt suivit par un pantalon noir assez classique. Ensuite arriva la chemise blanche qu'il attacha jusqu'en haut, avant de mettre la cravate noire qu'il prit soin de bien serrer par soucis d'élégance. Dimithrius remonta volontairement le col de sa chemise et enfila ensuite une veste à queue de pie de couleur noirs également qu'il ne noua que par un seul bouton avant de finalement ce regarder dans la glace. Il s'approcha et remarqua qu'il n'était pas coiffé et c'est ainsi qu'à l'aide d'un peigne il commença à arranger ses cheveux toujours dans la même optique, celle de paraitre élégant et propre sur lui. Lorsqu'il regarda sa montre à gousset et qu'il vit qu'il était bientôt onze heure, il s'avança vers son ordinateur, s'assit sur sa chaise et reprit l'écriture de son roman. Les idées semblaient défilé à toute vitesse dans son esprit et plus les secondes passaient plus le dénouement qu'il voulait ce développait. Après de longue heures de pianotage, au alentours de quatorze heure trente, il ce leva et enfila son mentaux avant de prendre son porte feuille dans une de ses poche. Une fois dans l'entré, l'écrivain enfila une paire de bottine qui allait très bien avec le reste de sa tenue qu'il prit soin de cacher sous les jambe de son pantalon. Puis, il ouvrit la porte et sortit pour rejoindre le magasin.

Marchant d'un pas lent dans la rue, il regardait la neige tombé doucement sur le neige déjà bien recouvert de blanc. Avec un sourire Dimi regardait les enfants courir et ce lancer des boules de neiges alors que les couples recommençaient à sortirent main dans la mains pour faire les boutiques. Toujours de cette même démarches très lente il entra dans le magasin et parcouru les rayons avec un sourire dans le but de trouver les rayon qu'il ce devait de trouver pour pouvoir faire les gourmandises dont il rêvait. Après avoir trouver tout ce dont il avait besoin et qu'il s'apprêtait à passer en caisse, un bruit vint heurter ses oreilles et il ce retourna. Il vit une jeune femme assise sur le sol, de la farine partout sur elle sur le sol. Il quitta la queue et s'avança vers elle d'un pas plus rapide, puis une fois assez près d'elle il posa son panier, ce pencha un peu en lui tendant une main recouverte d'un gant blanc pour l'aider à ce relever

"Vous ne vous êtes pas fait mal ?"

Une porte claqua, celle de son appartement. Elle venait tout juste de revenir de son voyage en Allemagne. La fatigue ne l'avait pas mordue jusqu'à la moelle épinière. Par contre, la rage de n'avoir rien en mangée chez elle lui donna un coup au visage. Quelle surprise d'arriver chez elle, d'ouvrir la porte du frigo ainsi que celles des armoires et n'y voir qu'un voile de poussière. Un petit cri par ci et par là en apercevant deux ou trois araignées , mais elle a survécu. Florence pensera à faire son ménage à son retour du super-marché. Avant de claquer la porte de son appartement et partir, elle avait posée ses valises dans le salon, un peu empilées n'importe comment. Elle avait peignée ses longs cheveux blancs qui lui tombait aux fesses. Il y a longtemps qu'elle ne les a pas fait coupé. Elle était que très peu maquillée. Elle portait un jeans trouvé, une camisole grisâtre trop grande pour elle, laissant voir son soutien-gorge noir et elle avait enfilé une veste. N'habitant pas très loin du super-marché, elle savait qu'à la course elle arriverait rapidement sans avoir le temps de gelé sur place. Et c'est enfin prête, qu'elle claqua la porte de son appartement, descendit les quelques marches afin de sortir à l'extérieur et découvrir le merveilleux monde qui l'entourait.

La neige tombait avec douceur. Ce n'était ni une tempête , ni rien du tout. Juste quelque chose d'assez magique pour émerveillée la jeune femme. Croisant les bras de sa poitrine, elle se mit à courir en direction du super-marché qu'elle atteignit assez rapidement. Qui a dit que courir en talon haut donnait une course très lente ? Bon, la démarche ne méritait pas un 10 sur 10, elle a failli brisé l'un de ses talons, mais elle est arrivée saine et sauve dans les magasins. Décroisant les bras, elle salue une caissière, vieille connaissance mais sans plus et agrippa un panier pour y mettre le nécessaire pour au moins se nourrir quelques jours. Elle reviendra une autre fois. Elle prit de quoi faire une salade, quelques trucs salés, de la viande, des pâtes, des fruits. Puis arrive le moment du sucré. Plus au moins bonne en cuisine, elle adorait faire des muffins, des gâteaux et ainsi de suite. Fronçant les sourcils, elle chercha la rangée qu'elle voulait. Ses talons claquaient contre le sol , marchant dans la rangée déjà peuplée de quelques personnes. Entre temps, elle croisa du regard un jeune homme à la tête sombre. Elle se surpris même de penser que tous les deux, c'était un magnifique contraste !

Elle agrippa des petits décorations étoilés, les ingrédients pour faire du crémage maisons puis vient le moment de la farine. Placée en hauteur. C'était l'ingrédient nécessaire à tout ! Et voilà qu'ils l'ont changés de place. Grand soupire de sa part, elle savait pourtant qu'elle serai incapable de l'atteindre. Posant son panier contre le sol. Elle tendit la main en direction d'un sac, le premier. Elle dut même se mettre sur la pointe des pieds, donnant des petits coups de ses doigts pour le faire avancer dans sa direction. Oui il s'est avancé, et lui tomba même sur la tête, s'ouvrant sur le choque. Florence elle, se retrouva assise au sol sur la surprise. Le sac s'était retrouvé à ses côtés, alors que la farine resta dans ses cheveux déjà blanc et partout sur ses vêtements. Soufflant la farine, éternuant puis secouant la tête, elle entendit une voix tout près d'elle, puis en tournant la tête, remarqua une main ganté. Son regard argenté continua son chemin sur le visage et sursauta. C'était l'homme qu'elle observait tout à l'heure. Un rouge très discret teinta ses joues, cachés d'avance par la farine. Elle tendit une main pour attraper la sienne puis se leva avec son aide. À peine levée, elle relâcha aussitôt sa main, poussant un rire franc de sa gorge. Oui, elle riait de sa propre situation.

" Mes fesses sont engourdies, mais je vais bien...Merci beaucoup. "

Lorsqu'elle se retourna pour apercevoir le dégât qu'elle avait fait, plusieurs personnes la regardait, une main devant la bouche. Ils se murmuraient quelques trucs et partirent sans l'aider pour quoi que ce soit. Florence fronça les sourcils et enleva la farine de sa veste noire du mieux qu'elle pouvait puis tourna un visage limite contrariée vers l'inconnu. Elle vit derrière lui la ligne se refermée sous l'absence du corps de l'homme. Ses dents blanches se portèrent à ses lèvres rosés.

" Désolé.. Par ma faute vous avez perdu votre place. "

De nouveau retournée face à son dégât, dos à l'homme, elle frotta sa chevelure se demandant bien ce qu'elle pouvait faire. De son pieds, elle tenta de regrouper toutes les particules de farines puis posa le sac dessus. C'était mieux que rien. Et puis, ce n'était pas à elle de nettoyer, mais plutôt pour payer ce qu'elle avait gaspiller. Quand elle eut mini, mouvement qui ne prit que quelques secondes à peine, elle tendit la main en direction des autres sacs de farines et tourna de moitié le visage en sa direction.

" Vous pouvez m'aider ? Recevoir un deuxième sac de farine sur la tête n'est pas une sensation que j'aimerais revivre. "

Dit-elle en souriant.

Le gentleman regarda la jeune femme avec un sourire, elle était désoler pour sa place, mais ce n'était pas très grave. Dimithrius leva le bras, saisit le paquet de farine et le tendit la belle dame blanche avant de lui servir de nouveau un sourire.

"Ne vous en faite pas pour ma place... Je n'attendais depuis pas très longtemps de toute manière... et qu'est-ce que quelques minutes d'attentes quand on peu aider une splendide jeunes femmes ?"

Demanda le grand brun en ce baissant pour ramasser son panier. Il regarda la jeune femme et avec douceur passa sa main libre sur les épaules de celles-ci pour enlever les dernières particules de farines avant de passer un doigts sur ses joues, dévoilant ainsi le fameux grain de beauté qu'elle avait sous l'œil. Malgré qu'il reste inchangé, un sourire charmant sur le visage et un regard sincère, il ne pus que remarquer la légère ressemblance que cette jeune femme avait avec la femme qui avait causé sa perte, mais après une vague réflexion, il conclut que cette jeune femme était infiniment plus belle que celle dont il ce souvenait, et avec douceur, il prit la main de la jeune femme, posa un baisé sur celle-ci et ce redressa avec lenteur

"Je me nome Dimithrius Van-Haussen... me feriez vous le plaisir de me dire votre noms ? "

Encore une fois, le langage châtier du beau brun venait de frapper, non pas qu'il considérait ça comme une malédiction bien au contraire, c'était cette façon de parler qui lui avait ouvert tant de porte dans la vie, dans ses livres, dans ses histoires d'un soir, en fait sa vie ne tenait qu'à cette façon de parler en réalité. Il reporta son attention sur la jeune femme et prit un instant pour la détailler.

De long cheveu blanc, semblable à une cascade de neige, un teint pâle presque identique au sien, de beau yeux couleur d'or blanc, un léger maquillage qui faisait ressortir à merveille son visage, oui c'était sur, cette femme là était belle, et ce n'était que le début puisqu'il finit de la détailler. Elle portait une camisole grise plutôt grande, et laissait paraître deux bretelles sur ses épaules de lait. Il n'apporta qu'un bref coup d'oeil à ce qu'elle portait en bas, et vit qu'elle avait un jean et des talon assez haut. Avant lenteur, il ce plaça à côté d'elle et la regarda dans les yeux avant de lui dire.

" Si vous le souhaitez, je peux vous aider... Il y a de nombreux articles en hauteur ici... Ma présence vous évitera peut-être de vous tâcher de nouveau, qu'en pensez vous ? "

[Desoler c'est assez court]

[ Ce n'est pas grave, moi-même il m'est rendu impossible de faire de grandes réponses x_x Le temps me manque. ]

Elle suivit du regard le sac de farine passer de l'étagère, à la fin de l'homme, puis à ses propres mains. Son corps se pencha pour déposer le sac dans son panier. Elle l'écouta parler en se redressant. Étrangement, elle était finement hypnotiser par sa voix..Si douce. Ça change des teintes de voix des Allemands. Elle voulait lui parler pour avoir de longue réponse et continuer de l'entendre. Quelque peu perdue profondément dans ses pensés, elle secoua la tête, mettant la faute intérieurement sur la farine. Un rire franchit ses lèvres. Pas celui remplie de gaieté, mais plutôt celui teinté d'une gêne. Son corps se pencha un peu, une main se posant sur le torse de l'homme. Un geste passager, sans réel raison. Parfois elle posait ce mouvement lorsqu'elle avait trop rit. Mais là, c'était sûrement pour arrêter quelque chose. Ou bien pour voir comment il est musclé sous ses vêtements ? Vraiment, elle ne le savait pas elle-même. Que ce geste gêne ou non, elle le fait un point c'est tout !~

" Voyons, n'exagérez en rien... Je suis loin d'être splendide avec toute cette farine. "

Florence laissa ses doigts se retirer de son torse puis retomber pour prendre son panier de la même main. Elle posa sa deuxième main sur la poignée pour bien le maintenir, donnant quelques coups léger du genoux contre le matériel du panier, le faisant balancer. S'arrête en voyant sa main se tendre vers elle. N'ose plus bouger, ne faisant que regarder son visage. Ses traits sérieux sur le coup, un nouveau sourire mord ses lèvres quand il frôla sa joue près de son grain de beauté. Elle regardait ses yeux, ses lèvres, ses cheveux, son corps. Sans aucune gêne. Elle se dit que c'est tout ce qu'il y a de plus normale de détailler une personne lorsqu'on y fait face. Mhm..Il est beau et c'est une sincère évidence. Les personnes qui le trouvent moches sont surement fou. Elle baissa son regard, un peu perdue dans ses pensés. Ça lui arrive souvent d'ainsi s'égarer. Elle ne remarqua même pas sa main se lever. Son regard argenté se tourna seulement au contact de ses lèvres. Florence prit bien en note le prénom de l'homme, le murmurant très bas avant de se présenter à son tour. De son accent anglais habituel suite aux nombreux voyages en pays américains.

" Florence O'Connor... Enchanté Monsieur..Van..Van..Mhm..Je peux vous appelez Dimithrius~ ?"

Pour quelqu'un d'aussi poli, elle hésitant franchement à l'appeler par son prénom. Surtout, elle n'était pas habitué de vouvoyez quelqu'un qui ne semblait pas plus vieux qu'elle. Vieux, c'est un bien grand mot. Disons qu'ils n'étaient pas jeunes comme des enfants ou des adolescents. Bref ! Sous sa proposition, elle relâcha d'une main la poignée du panier pour agripper avec douceur sa manche. Elle se retourna et se promena dans la ranger, le trainant avec elle.

" C'est une très bonne idée ! À moins que vous n'êtes bon en pâtisserie et m'expliquer ce qui me manque dans mon panier...Je ne vois pas ce qu'il me faut de plus. "

Elle dit ça comme ça, sans vraiment savoir qu'il était venu au super-marché pour justement acheter quelque chose pour faire des pâtisseries. Elle n'a pas prit la peine de regarder dans le panier de l'homme. S'arrêtant devant une porte où derrière tout ce qui était laitier était disposé, elle ouvrit celle-ci en prenant un sac de lait puis un pot de crème glacé à la vanille. Oui, même en temps frais, elle mange de la crème glacée devant son faux foyer ♥. Elle se retourna, énergique en sa direction.

" Sérieusement, vous semblez sortir tout droit d'un autre monde... "

Ses dents blanches s'attarda de nouveau à sa lèvre inférieur. Elle secoua la tête en portant sa main froide du contact de la crème glacée à l'arrière de sa tête. Elle se reprit tout de suite.

" Ce n'est pas méchant... Seulement.. Vous êtes si bien habillé et vous parlez si bien.. C'en ai hallucinant. J'aime bien ! "

En tournant la tête en refermant la porte du frigo du super-marché, elle aperçu un homme qui travaillait à cet endroit. Tout bêtement, elle laissa tomber son panier et couru jusqu'à lui après avoir fait signe d'une minute avec son index à Dimithrius. Elle expliqua le problèmes en mettant la faute sur la hauteur... Puis revient en direction de l'homme. Tout juste avant de s'arrêter, un de ses talons craqua sous la pression et elle s'agrippa aux deux épaules de l'étranger au risque de tomber en plein visage.

" ... Aw ! Soulier de mauvaise qualité ! "

[Assez court ? Ça fait presque deux fois ma réponse]

Dimithrius regarda la main de la jeune femme ce poser sur son torse, si l'endroit avait été moins incongrus et qu'il y avait eu moins de monde autour d'eux, le grand brun aurait très certainement entrecroisé leurs doigts pour l'attirer contre lui, tout du moins c'est ce dont il avait envie... Mais ses manières et les circonstances faisaient qu'en aucun cas il n'aurait oser faire ça. Un large sourire étira ses lèvres lorsque la jeune femme lui dit son nom et en profita pour demander si elle pouvait l'appeler par son prénom. Le jeune homme posa sa main droite prêt de son cœur et s'inclina légèrement avant de lui dire en posant son regard sanglant sur elle

" Comment une femme aussi belle n'aurait pas le droit d'user de mon nom pour me parler ? Je vous en donner mille fois l'autorisation... Et vous ? Me permettez vous de vous appeler Florence ? Ou devrais-je me cantonner à d'autres formules de politesse ? Au quel cas, les quelles dois-je utiliser ? Madame ? Mademoiselle ? Ou peut-être autre chose encore ? Je vous en laisse pleinement le choix... "

Toujours avec sourire, il ce redressa et suivit la jeune femme lors de ses emplettes culinaires, durant les quelles il observa ce qu'elle prenait pour préparer ses gâteaux. Lorsqu'elle lui demanda si elle avait oublié des chose, le beau brun leva le bras et saisit une boite de levure et le posa dans la panier de la jeune femme. Son sourire s'étira de nouveau lorsqu'elle lui dit qu'il semblait venir d'un autre monde... Bon nombre de fois on le lui avait dit, Dimithrius avait également essuyer bon nombre de remarque blessante, mais qu'en avait-il à faire en fin de compte ? S'il portait ces vêtements c'était uniquement pour son plaisir personnel, et parce que porter ces habits lui permettait de ce montrer plus sur de lui. Elle tenta de ce justifier et avec un regard honnête il la regarda avant de lui dire

"Ne tentez pas de vous justifiez... Venant de vous, c'est un compliment... Je sais que votre intention n'est pas de me blesser... N'ayez crainte, Je ne me vexerais pas pour si peu..."

Lorsqu'elle s'éloigna pour parler au vendeur de sa mésentente, il l'attendit, immobile à regarder les pots de glaces... Il en saisit un et l'idée de faire un gâteau glacé lui traversa l'esprit... Ouvrant en grand les portes du congélateur, il prit plusieurs pots de glace afin de mélanger les saveur, les textures, les couleurs... Car en plus du goût qui était très important pour Dimithrius, le gâteau devait être beau et bon! L'écrivain ce tourna alors le bruit de talon en la voyant tombé, il précipita sa bras pour la saisir avant qu'elle ne tombe. Il avait agit par instinct et n'avait pas penser qu'en faisant cela, la jeune femme finirait contre son torse, les main de Florence plaquer contre celui-ci et celle du beau brun autour de son dos. Il finit par la relâcher la pression et la regarda dans les yeux lorsqu'elle eu relever le visage

"Vous n'êtes pas blesser ?"

Il jetta un bref regard sur la jambe de la jeune femme en voyant qu'elle avait briser son talon. C'était dommage pour cette chaussure, mais ce qu'il craignait c'est qu'elle ce soit casser quelques chose en tout simplement qu'elle ce soit tordu la cheville. Certe ce n'était qu'une inconnue, mais en quelques instant, il avait fini par s'attacher à elle, et comme tout ceux à qui il s'attachait, il souffrait pour eux lorsque ceux-ci étaient blesser...

Ses yeux s'étaient fermés sur la crainte de devoir refaire son nez. De plus, une chute violente au plancher et un nez brisé..Elle ne sortira pas de chez elle. Et dieu seul sait Ô comment elle déteste rester enfermer chez elle. Qui veut se montrer un gros pansement au nez qui prend la moitié du visage ? Personne ! De plus, elle devrait aller à l'hôpital. Son père lui a dit que la nourriture est mauvaise là-bas. Sûrement pas autant que celle des avions ! Par contre, sentant ses mains et son front appuyé sur quelque chose de vivant et une pression la retenant dans le dos, ses paupières papillonna avant de se lever complètement. Le mouvement se fit aussi avec son visage pour croiser celui de l'homme. Beaucoup trop près à son gout ! Bon, ça ne lui déplaisait pas plus qu'il faut d'être aussi près, mais elle se redressa complètement en créant une certaine distance entre eux deux. Son regard se porta à son soulier qu'elle retira pour en voire les dommage. Talons dans une main, soulier dans l'autre.

" Je vais bien.. Disons que j'étais au point de faire une crise de coeur ~... "

Elle soupire vivement par la suite et remet le soulier sans le talon. Celui-ci termina sa course dans le panier au sol. Florence s'accroupit au sol en prenant son autre soulier en main. Elle força sur le talon pour le faire briser. Sans aucun résultat. Elle regarda à droite puis à gauche avant de donner un fort coup avec le talon sur le sol.

" Bingo ! "

Dit-elle, finalement pas si triste que son talon soit brisé. Elle enfila le soulier maintenant plat. La sensation sous le pieds était étrange, mais elle saura survivre. Elle reprit en main son panier et se redressa tant bien que mal. La demoiselle fit du surplace pour s'habiter aux " nouveaux " souliers. Puis elle fronça les sourcils, comprenant qu'elle avait complètement oublier la question du nom. Elle mit sa main devant sa bouche comme si elle avait dit quelque chose qui ne fallait pas - pourtant elle n'avait rien dit - en levant ses yeux en direction de l'homme.

" T-Tu peux m'appeler Florence...Enfin..Vous pouvez...Je n'aime pas qu'on me nomme autrement, ça me fait grincer des dents~. "

Elle aperçu du coin de l'oeil tous les pots de crème glacée dans la panier de l'homme. Sous le coup, elle fut surprise mais n'en dit pas un mot, peur de dire une tout bête connerie. Florence regarda dans son panier , remarqua l'ajout de Dimithrius et lui souri. Le prend par la main et l'amène à la caisse. Le place devant elle, sachant qu'il serait déjà parti si ça n'aurait pas été de sa bêtise. C'était la moindre chose de le mettre devant elle ! Ce simple mouvement la fit réfléchir sur tout et rien. Déjà mettre fin à la discussion ? Non, pas possible. Ce serait dommage. Surtout qu'elle préférait le connaitre un peu plus. Oh, rien de mal ! Il l'intriguait en quelque sorte. D'un coup, elle relâcha la main de l'homme et prit un paquet de chewing-gum pour le mettre dans son panier.

" Je vous invite chez moi et c'est non négociable. "

Dit-elle sur un ton de fausse reproche. Elle regardait tout ce qu'elle avait dans son panier et se dit que s'il lui manquait quelque chose, elle ira le chercher au dépanneur pas très loin. Bon, c'est basse qualité, mais ça fait l'affaire. Elle se gratta la nuque, en pensant à l'occupation du beau jeune homme. Florence fit claquer sa langue contre son palet.

" Si vous avez la moindre chose autre que ça à faire... Annulez ! Je vous monopolise pour la soirée ♥ "

Sa main se posa dans son dos pour le faire avancer, une personne ayant dégager la fil après avoir payer. Il sortie avec ses sacs en main. Elle-même fut contrariée du fait que cette fois-ci elle ne pourra pas courir. Si elle avait été un chat, elle aurait couiner !

Dimithrius regarda la jeune femme briser son talon sur le sol pour ce retrouver à plus basse. Beaucoup de femme aurait fait une crise de nerf, aurait refuser de bouger, ou encore aurait renvoyer la faute sur le magasin en prétextant que le sol était glissant... Mais elle en toute simplicité c'était contenté d'égaliser sa hauteur en cassant son autre chaussures... Pendant un instant, le jeune brun ce permit de ce dire, que si cette femme connaissait les choses de l'amour, elle serait sans doute la femme parfaite, car oui, elle était splendide, douce, joviale, simple... Le contacte de leur main le fit revenir à la réalité et sans même s'en apercevoir, il serra ses doigts sur les siens alors qu'elle le faisait avancer vers la caisse. Malgré son envie de la laisser passer devant, il savait qu'une négociation était peine perdue, en revanche ce pourquoi il n'aurait pas négocier fut pour son invitation chez elle, comme si un homme saint d'esprit pouvait refuser une tel invitation ! Après avoir payer les articles qu'il avait acheter, le beau brun attendit Florence un peu plus loin en tenant ses sacs et lorsqu'elle arriva prêt de lui, il ce permit de lui proposer son bras pour qu'elle ne tombe pas à cause de cet épais mentaux de neige qui avait recouvert les rues. Toujours avec un sourire, il ce pencha et prit le sac de la jeune femme avant de lui sourire

" Il serait dommage que vous ne glissiez... Vous venez d'échapper à une blessure dan magasin, je vous offre l'occasion de ne pas prendre de risques supplémentaire... dans ce but, je vous offre mon bras, et je porterais vos courses jusqu'à chez vous... Après tout, je peux bien faire ça puisque vous m'inviter en votre demeure... "

Cette demande était plus une affirmation qu'une question, puisque juste après il ce débrouilla pour qu'elle prenne son bras d'une main au départ, si l'envie de le prendre à deux pour ce serrer contre lui la prenait, il ne serait pas contre bien entendue, mais il laisserait les choses ce faire... Au grès de leurs pas, le grand brun rapprocha la jeune femme de lui, assurant ainsi une meilleur prise pour éviter qu'elle ne tombe, ainsi qu'une certaine proximité entre les deux personnage. Les gens les regardaient étrangement, comme s'ils venaient d'un autre monde... Et après tout peut-être était-ce le cas... Mais ce qui était sur c'est que Dimithrius était vraiment fier d'avoir une telle beauté à son bras, même si cette position était plus une sureté qu'autre chose...

[Désoler, c'est assez court.]

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