Une nuit de pleine lune [Pv Bal']

Le soleil se couchait sur la ville, il disparaissait derrière la forêt. Accoudée à ma fenêtre, j'admirais ce magnifique spectacle comme une petite fille découvrait un feu d'artifice. Une brise légère faisait voler mes cheveux doré dans mon dos et l'odeur des sapins venait à moi porté par le vent. L'air frais s'engouffrai dans ma petite chambre d'étudiante et faisait danser les rideaux. Mes grand yeux vert brillait d'émerveillement. Pleins de petit oiseaux volaient autour de la cime des arbre dans se joli fond aux couleurs rose/orangé. Je commençais à penser à mon grand frère et à déprimer lorsqu'une idée me vint en tête. Pourquoi ne pas aller me balader dans cette si merveilleuse foret?

Je tourna le dos à ma fenêtre et contempla l'intérieure de ma chambre. Si les scientifique voyait ça je suis sure que ça ferait avancer la théorie du chaos. En effet la chambre était assez petite, on y rentrait à peine un meuble pour ranger les vêtement un lit d'une place et demis une fenêtre et deux porte. Bien sur l'armoire pour l'instant ne me servait pas à grand chose.. Pourquoi donc? Simplement parce que mon linge était étalé par terre et sur mon lit. Depuis mon arrivée je n'ai pas eu le temps de faire du rangement et ce soir je comptais bien aller me balader dans la foret alors ça attendra!

Je jeta un rapide coup d'oeil sur le haut de mon lit à la dernière photo que j'avais prise avec mon frère étant plus jeune. A côté était posé un petit calendrier et je remarqua que c'était la pleine lune... Chouette alors! Je vais peut être rencontrer des vampires ou des loups garou! Trop bien!! Je me jeta a plat ventre par terre et passa ma main sous le lit. Je chercha les fameux objets a taton sous le lit poussiéreux et en extirpa mes rolleurs avec difficulté. Un sourire satisfait aux lèvres je sortis de ma chambre en courant et me précipita dehors claquant par inadvertance la porte derrière moi.

Une fois arrivée dehors j'enfila mes rolleurs en quatrièmes vitesse et m'élança à la conquête de la foret. Le soleil étais maintenant presque couché et il faisait de plus en plus sombre. Je parcouru la ville en grande vitesse, esquivant les passants de justesse, slalomant entre les voitures. Mes cheveux semblait être une poussière doré qui volait derrière moi et ma petit robe blanche plissé flotté au dessus de mes genoux. Un bandana assorti à ma robe orné mes fin cheveux. Je continuée d'avancer à une vitesse phénoménale, j'aime la vitesse et j'aime le sport! La foret se rapprocher de plus en plus de moi .. En faite non c'est moi qui me rapprochai de plus en plus de la foret ><. Sautant par dessus le obstacle j'y parvint en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.

Je m'arrêta à la lisière de la foret et retira mes rolleurs. Il faisait maintenant nuit et mes rolleurs a la main je m'aventura dans la sombre foret. La lune et les étoiles étaient mes seules lumière. Peur? Moi? Pour qui me prenez vous?! J'adore me promener la nuit et c'est pas cette petite foret de malheur qui allait me faire peur! Le silence régnait en maitre sur les bois et seul mes pas effrayait les animaux. Je regardait autour de moi et aperçu une petite clairière plus loin. C'était ma chance je commençais à avoir faim, peut être y trouverai je un arbre fruitier. Je commença à avancer quand un bruit de branche cassé résonna derrière moi. Surprise je me retourna croyant à un animal mais je distingua une forme humaine. Je souris en lui adressant un signe de main et ces quelques paroles:

La personne était dans le noir total impossible pour moi de reconnaitre la silhouette et de différencier s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme. Je regardais la personne approché et se placer sous un rayon de lune qui éclaira son corps. Son visage me resté invisible mais l'homme était bien battit. Ses mains dans son dos semblèrent cacher quelque chose. J'essaya de regarder ce que c'était mais il m'interrompis dans mes réflexion pour me répondre :

Cet homme me paraissait étrange. Il me donnait des frisson dans le dos. Peut être étais-je tomber sur une créature fantastique! Ha mais non .. Faut que j'arrête ça existe pas les monstres de la nuit. En tout cas il avait quelque chose d'effrayant.. Peut être cachait il quelque chose dans son dos? C'est surement un meurtrier! Non! Faut vraiment que j'arrête de regarder la télé moi! Et pourquoi pas un extra-terrestre ou un violeur aussi non?!

Regardant l'homme je lui sourit d'un air aimable cachant mes craintes. Mon sixième sens ne me trompe généralement pas mais la ça va trop loin dans la folie. Me sentant légèrement gênée vis à vis de mes pensée je tourna le dos à l'homme *Non surtout pas* .. Roooh tais toi petite voix! Je reprend donc, je tourna le dos à l'homme et avança de quelques pas vers la clairière. Tournant ma tête vers l'homme je lui proposa toujours souriante :

Je lui tourna complètement le dos me forçant à marcher d'un pas lège vers l'endroit dégagé. Me cheveux se balançaient dans mon dos et je chantonnai pour faire disparaitre se sentiment d'oppression. Cet impression d'être une proie qui s'enfonce dans un piège. Que quoique je fasse je ne pourrais m'en échapper. Que quoi qu'il arrive je serais piégé. Cette panique qui s'immisçait en moi et se dressait comme un serpent prés à attaquer. Ca crainte qui n'a nullement était inviter. Et cet incessant bruit de chaine qui ne venait de je ne sais ou s'intensifiant de plus en plus. Ma tête cria *stop ... Stop...* :

Je mis un certain temps avant de me rendre compte que je l'avais crier à voix haute. Tout avait cesser et la foret était redevenue calme et silencieuse. Le serpent avait disparu de ma tête et les bruit de chaine cessait.. Etait ce la pleine lune qui me faisait et effet? Je rougis légèrement de ce moment passé assez honteuse et confuse. Je me retourna vers l'homme un sourire gênée aux lèvres et m'expliqua :

Mon sourire gênée aux lèvres et les joues légèrement rosie, je tendis la main à l'homme pour le saluer mes rolleurs pendant toujours au bout de mon second bras et mes cheveux s'étant immobilisé dans mon dos, pour cause le vent avait cessé.

Je souriais à l'homme lui tendant toujours la main. Je pouvais enfin voir son visage grâce à la lumière de la lune je pu enfin apercevoir.. Enfin surtout aussi parce que nous nous étions rapproché. Mais en faite ne pas voir son visage m'aurait arrangé plus qu'autre chose. Ses cheveux blond était noirci et tombaient devant son visage. Je tendis une main pour écarter ses cheveux et voir ses yeux. Mais au même moment j'entendit un cliquetis métallique et quelque chose de glacé s'enroula autour de mon poignet. Un long frisson me parcouru le dos et je baisa les yeux pour voir e qu'il en était. Il avait sorti une main de derrière son dos et voila ce qu'il y cachait! Une chaine! et sûrement une deuxième vu que son autre main était toujours dans son dos. Je releva la tête pour le regarder. Un sourire malveillant avait prit place sur ses lèvres. J'entrepris enfin d'écarter une mèche de ses cheveux et aperçut ses yeux noir qui me glacèrent les sang. Sa voix non plus n'était plus du tout la même, plus séché et plus froide lorsqu'il parla :

Sans que je ne m'en rendis compte j'avais lâche mes rolleurs qui étaient pitoyablement étalé sur le sol et toute trace de sourire avait quitté mes lèvres. Ce type fautait les chocottes, Rambo en aurait fait dans sa culotte... Surprise par ma réaction je haussa un sourcils et répliqua:

J'avais prononcé ces mots plus pour me calmer et me rassurer qu'autre chose. Cet homme devait me faire une mauvaise blague voila tout! Mais en même temps il avait les yeux noir d'un démon... Cette chaine glaciale qui me maintenait fermement le poignet.. Et sa voix si froide ... Il me filait la chaire de poule. Mais mon ventre grondait et je ne fais pas attendre mon estomac! Je lui sourit de nouveau et la chaine me serrait le poignet, je suis sur qu'elle me laissera une marque .. Je pris doucement son dans ma main chaude ce qui faisait contraste :

Je m'accroupis pour ramasser mes rolleurs et me dirigea de nouveau vers la clairière, son poignet dans ma main en rigolant légèrement sous la plaine lune.

Je marchais vers la petite clairière me dirigeant vers le centre. J'y avait repéré un grand cerisier ... Humm je ne pouvais pas tomber mieux moi qui adore les cerises. Le tronc de l'arbre était épais, il devait être très vieux. Il était grand et majestueux, en me rapprochant je commençai à apercevoir les joli fruits rouge et juteux qui s'y trouvait. Le sol à l'herbe humide était recouvert de ce même fruit qui me faisait tant envie, mon ventre grogna de nouveau.

J'arriva enfin au pied de l'arbre relâchant la main de mon accompagnateur je regardais l'arbre d'un air gourmand. Je me mis sur la pointe des pieds et tendis la main pour attraper un des succulent fruit qui s'offraient à moi mais mon geste fut interrompu. La chaine de l'inconnu restait soudé à mon poignet.

Je voulu me retourner vers lui pour lui demander de me lâcher afin que je puisse me restaurer tranquille mais il fut plus rapide que moi. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire il était derrière moi, je sentais son souffle chaud sur ma nuque ce qui me donna des frisson. Je senti l'instant d'après un poids sur mes épaules et il se pencha en avant, perdant toute trace de sourire j'écouta sa tirade :

L'homme se mit alors à rire.. Un rire a vous glacer le sang mais trop de chose se bousculaient dans ma tête. "Il porte des chaine", le bruit des cliquetis incessant me revint en tête, "Ses yeux noir comme les ténèbres", son regard glacial traversa mon esprit. Mon corps frissonna longuement lorsqu'il me demanda ensuite :

L'inconnu toujours penché sur mon épaule se mit à me lécher l'oreille. Je réprimanda, non sans mal, un petit cris de surprise. Je mis plusieurs bonne minutes avant de réussir à me calmer extérieurement et je pivota ma tête vers le violeur un sourire polie et gênée aux lèvres et répondis d'un voix douce et calme :

Tout en prononçant ces paroles, j'ôta ses mains de mes épaules avec délicatesse pour ne pas le brusquer ni le provoquer. Il semblait psychologiquement atteint et je ne préférais pas me frotter à lui. Pour accentuer mes paroles mon ventre grogna.

Je ne remarqua pas que le sourire de mon agresseur venait de disparaitre. J'avais très peur oui, mais je ne le lui montrerais pas! J'aurais aimé avoir raison.. Que ce ne soit rien qu'une mauvaise blague, mais au fond de moi je savais pertinemment que ce n'était pas le cas. Le dos tourné à l'homme je me dirigé vers l'arbre. Mais même si ma faim persistait j'avais l'appetis coupé. La peur me nouai l'estomac mais bien sur je ne laissa rien trasparaitre.

Je senti la chaine metallique se dérouler de mon poignet. J'aurai voulu me le masser un peu pour le soulager mais je ne fis rien. Je voulais partir m'enfuit en courant, c'était la meilleur solution pour lui echapper mais comme l'idiote que je suis je continua à m'approche du grand ceriser en m'éloignant se l'homme aux chaines.

Ce qui ce passa ensuite fut tellement rapide que je mis un certain temps à réagir. Je senti une chaise s'enrouler autour de ma cheville et je trebucha. je me retrouva étalé sur le dos qui me faisait maintenant encore plus mal que moi poignet. Avant même que je pu rouvrire les yeux et me rendre compte de ce qui c'était passer, l'homme c'était déjà jetté sur moi à quattre pattes au dessus de mon corps.

Son sourire était sadique et son regarde opressant. J'étais morte de trouille et figé. Mais mon regard fixait ses yeux noir sans laisser transparaitre aucune crainte. Les sourcils froncé et la mine sérieux je le fixait me retenant de lui cracher aux visage. C'est alors qu'il se mit a déballer d'une voix effrayant :

Sa voix avait completement changé. Aussi calme quelle avait put être maintenant elle semblait à la fois haineuse et empli d'un désir inconnu. C'est alors qu'il s'empara de mon sein et le massa avec force. Je me mordi la lèvre pour ne pas gémir. De plaisir? Non plutôt de douleur. Il me faisait mal à presser ma poitrine aussi fort. Il continua de parler :

Il sourit de plus belle. Mons instinct ne m'avait donc pas trompé.. Je n'esseya pas de me debattre, la différence de force était bien trop grande et si j'essayais de m'enfuir ses chaines me rattraperais.. J'étais prise au piège.. Mais ce n'est pas pour autant que je lui donnerais satisfaction! Je ne lui montrerais pas que j'ai peur! Je comptais même prendre ça à la légère pour bien le faire chier et faire chier mon monde je le fais a merveille. La meilleur dans la catégorie! Je fixa l'homme d'un air à la fois innocent et déterminé en lui répondant :

Hé niark!

Apparemment ma remarque ne lui avait pas plu du tout. Oui je sais je suis très observatrice. Non c'est vraiment pas le moment de faire de l'humour la, je suis mal ... Très mal. Sa voix était plus violent qu'auparavant et je vis sa main se lever, je n'eu pas le temps de placé mes mains devant mon visage qu'il m'avait violemment gifflé.
Je le regarda surprise et porta une main à ma joue maintenant rouge et la caressa fixant le vide.

L'inconnu sorti un couteau de derrière son dos mais je ne réagit pas toujours sur le coup de la giffle. On ne m'avais jamais levé la main dessus avant ce jour. Je sentis la lame froide traversa ma robe blanche et je la senti glisser les long de mon buste. Des frison se créèrent sur mon corps et je cligna des yeux me ressaisissant peut à peut ma main toujours contre ma joue. Je sentis ensuite ses mains glacé effleurer mon buste pour retirer mon vêtement. Il s'adressa de nouveau à moi :

Que je le vouvoie?! Ca ça risque pas vieux! Regardant ses dents je secoua la tête pour me ressaisir complètement. Le dénommé Baal plaça ensuite ses mains sur mes seins et commença à mes masser doucement la poitrine. Je sentis les deux serpent de métal s'enrouler autour de mes poignet. J'aurais voulu le repousser mais mon corps ne réagissait pas à mes ordres. Je le senti presser mes seins et je retint un légé gémissement en fermant les yeux et serrant les poing. L'homme me dit au même moment :

Je frissonna sous son massage forcé. C'était plutôt agréable jusqu'au moment ou il se mit à les masser plus fort me faisant un peu mal à la poitrine. Exité? Pas le moins du monde. Si je le détesté? Non plus, il m'était indifférent. En effet c'est la premier fois que je me faisais violer et je n'avais jamais eu de rapport sexuelle avant ça. Allait il prendre ma virginité? Surement. Je me tortillais légèrement m'apprêtant à parler quand je sentis son souffle à mon oreille :

Rouvrant les yeux je le regarda et lui souris poliment en lui répondant :

Je continuais obstinément à le tutoyer et à lui sourire. N'avais je donc aucune notion du danger? Si car même si je le gardais secret la peur régnait en moi. Tenais je vraiment à la vie à réagir comme ca?

Mon monologue semblait avoir eu l'effet espéré sur mon interlocuteur. Je n'imaginais pas qu'il réagirait si bien. Non je pensée qu'il allait encore plus s'énerver voir même me frapper et me mal traiter de nouveau. Sa réaction me surprise au plus haut point car l'inverse de ce que j'avais imaginé ce passa. Je me sentis soulager et soupira légèrement voyant un sourire se dessiner sur ses lèvres même si ce dernier n'était pas très rassurant.

Mais ce qu'il me réservait me surprit encore plus. Baal se pencha au dessus de moi et deviné ce qu'il fit! Il posa doucement ses lèvres contre le mienne. J'ouvris grand mes yeux surprise et mes joues rosir. Je n'essaya pas de le repousser et le laissa faire, j n'allais pas l'énerve alors qu'il était redevenu calme. Il se redressa et je le fixa haussant un sourcil, il se mit alors à parler :

Je le regarda encore plus surprise et immobilisé par ses chaine. Juste profiter de mon corps?.. Mais je ne suis pas un Objet! Seulement avais je vraiment le choix? Il ne me laisserais pas partir ca c'est sur et si j'essayai de m'enfuir il serait de nouveau violent. Et si je le frappais dans les bijoux de familles? Il serait immobilisé et je pourrais m'enfuir non? Ha oui mais non .. Dans ce cas la ses chaines s'occuperait de moi..

Le blond se mit à descendre les bretelles de mon soutif afin de me dénudé la poitrine et je le laissa faire sans broncher rougissant un peu plus. L'homme recommença à me masser la poitrine plus doucement et je rougis le laissant faire. Il arrêta ensuite pour se concentrer sur mes mamelons et je soupira de plaisir. M'en rendant compte je rougis un peu plus et voulu plaquer mes mains devant ma bouche mais les serpents métallique mes les retenaient toujours. Il se remit à masser ma poitrine laissant mes mamelons tranquille. Il repris son discourt :

Aussitôt dis aussitôt fait. Les chaines se déroulait lentement de mes poignets. Baal prit mes poignet dans ses mains et les massa pour faire circuler les sang normalement. Je fût surprise par tant de .. Douceur? Gentillesse? Il recommença à masser ma poitrine et je décida alors de tenter ma chance essayant de sauver au moins "ça" mais si je savais d'avance qu'il n'allait pas être d'accord. Je ferma les yeux et respira longuement pour me donner du courage. Quand je les rouvris je regarda le violeur un sourire gênée aux lèvres :

Je le fixais en silence attendant de voir sa réaction et espérant pour moi que son verdict serait positif.