Premier invité de la sous-directrice [PV : Henri][Annulé]

Ha, le calme. Enfin, elle peut écouter l’homme lui déclarer qu’il n’avait rien à faire chez lui et que donc il voulait bien venir lui en apprendre plus sur le pensionnat, mais il ne l’invita pas. Pas grave pensa-t-elle terminant alors son verre et en le regardant réglé pour eux et se détendre. L’avantage qu’elle avait en tant que neko pensa-t-elle était de ne pas connaître ce genre de problème, il était en effet rare qu’elle a à souffrir d’un manque d’exercice ou même qu’elle ressente un besoin de se prendre pour un ressort. Aussi elle sortit sans attendre l’invitant à la suivre de près et pour s’assurer qu’il suive elle lui prit la main en tout bien tout honneur bien entendu. Il y avait pas mal de monde dans les rues et les transports en commun après un match étaient… Bondé ? Enfin, ils le sont toujours, mais ça devait encore être pire en ce moment. D’ailleurs en y repensant, elle allait l’emmener où, son charmant professeur de chimie ?

La réponse elle la trouva rapidement, dans le seul endroit où elle pouvait emmener un homme à cette heure : sa chambre. Elle prit donc la route de l’internat expliquant à Henri qu’elle dormait à l’internat, car c’était plus simple pour elle et que de toute façon on ne pouvait rien lui dire puisqu’elle était la sous-directrice. De plus, elle était encore seule dans la grande chambre de quatre personnes et donc pouvait bien se permettre d’inviter un peu de compagnie même extérieure au pensionnat. Enfin, il avait été prof et se doutait bien de comment marchaient les choses dans cet établissement. Aussi elle fit le trajet en transport en commun, puis le termina à pied pour éviter les embouteillages. Arrivé sur place elle rentra par l’entré principale et fit route au dortoir, elle lui expliqua juste qu’il devrait la laisser parler s’il croisaient quelqu’un.

Mais pour son plus grand bonheur ils ne croisèrent que quelques élèves trop jeunes pour connaître le prof et encore ignorant qui étaient la sous-directrice de l’établissement. Elle arriva à a chambre, dans le secteur mixte de l’établissement, chambre numéro cinq, vide pour le moment précisa-t-elle. Mais elle espérait bien avoir de la compagnie sous peu avoua-t-elle. Elle lui expliqua qu’elle ne pouvait lui offrir que des boissons froides le cafet’ étant fermé à cette heure. Ensuite elle s’assit sur l’un des quatre lits et expliqua qu’elle voulait en savoir plus sur son employeur, mais aussi sur les pensionnaires. Elle se leva et alla fermer la prote à clefs disant ne pas vouloir être ennuyée par les élèves, ne savait-on jamais. Elle enleva son diadème et son collier pour les lancer sur un lit vide, elle fit de même avec ses gants et retira ses bottes hautes, après tout elle était chez elle ici.

Ainsi, Henri décida de lui raconter ce qu’il savait, il cita pas mal de noms qu’elle ne retint que le temps de les oublier, seul Jasson l’intéressait, les élèves elle voulait les découvrir par elle-même et pourquoi pas ici même. Mais ce qu’elle nota surtout était que Jasson était un pervers ? De quels genres ? Ceux qui font des avances ou qui profitent de vous par vos faiblesses ? Il s’installa à côté d’elle et à ce moment elle l’observa de haut en bas, il avait un certain cran pour venir s’installer sur le lit de la fille qu’il venait de croisé et surtout en sachant qu’elle était directrice de l’établissement. Elle lui demanda alors si Jasson n’avait pas une famille et des enfants, elle vais entendu tant de choses ces jours-ci qu’elle ne savait plus trop où ce poser tant le territoire semblait miner.

En fait, elle n’aimait pas cette intrusion sur son lit, elle estimait être la seule à avoir le droit de définir qui irait dessus ou non, et à ce moment elle faisait comme is de rien n’était dressant les oreilles pour surveiller les mouvements dans les parages, mais rien ne semblait au-delà de la normale. Aussi elle se leva et prit une chaise près de la table pour se poser devant son interlocuteur et mieux entendre ce qu’il aurait à dire.