Une nuit fort agitée [pv][hentaï]

Invité

Boris avait été emmené à l’hôpital quelques jours auparavant pour une blessure très grave, causé par un couperet. Il gardait maintenant une cicatrice au niveau de la cage thoracique et du bras gauche.

Il avait été agressé dans un fast-food. IL venait tout juste d’arriver en ville. Il n’avait aucun ennemi et pourtant on l’avait attaqué avec un couteau de boucher : Tout ça pour un ordinateur portable.

Tornav Orzhov, son père, était au courant de ce qui s’était passé et aucun doute que Boris serait puni pour son imprudence et l’utilisation d’un « cobra ». Le cobra, un mécanisme vicieux constitué d’une seringue hypodermique pouvant injecter une quantité plus ou moins grande de décontractant musculaire à un ennemi selon l’angle formé avec le poignet et le bras de l’utilisateur.

Boris avait utilisé cette arme, bien qu’elle soit illégale, et avait demandé à son frère de la détruire. C’était chose faite. Mais les symptômes ne trompent pas. La police a effectué des analyses pour savoir ce qui était arrivé à ce « pauvre Aeren ». Ils voulaient savoir la raison de sa paralysie subite mais n’avaient rien trouvé. Toutefois, nul doute que Le gérant de la société Orzhov, le père de Boris, n’ai suivit l’affaire et découvert dans la paralysie du brigand la trace de l’une de ses créations.

Toutefois, le nom d’Orzhov avait ses avantages. Le personnel de l’hôpital lui offrait les soins

Mais l’heure n’était pas aux suppositions ou à quoique ce soit concernant ce qui s’était passé dans ce fast-food : C’était la nuit, et Boris se trouvait dans sa chambre. La nuit se serait sans doute bien passée, mais il n’arrivait pas à dormir.

Il attendait donc, les yeux ouverts, couché sur le dos, que la nuit se termine et cède sa place au jour. Demain il quittera cet hôpital. Il éprouvait du soulagement : Il détestait cette odeur de désinfectant qu’il pouvait sentir jusque dans les draps.

Il aurait bien fait la conversation avec la personne qui partageait la chambre sur un lit jumeau, mais il n’osait troubler son sommeil et se faire un ennemi.

Il aurait bien lu pour passer le temps. Des livres il en avait apporté quelques uns, ses préférés, il avait aussi une lampe torche, mais si il l’utilisait il allait réveillée celle qui partageait sa chambre.

Il était aussi tenté de quitter sa chambre, mais il ne le pouvait pas. Un garde malade se tenait dans le couloir pour « veiller à la sécurité des malades. Encore heureux la chambre était insonorisée et la porte fermée. Personne, même en collant l’oreille au panneau ne pouvait entendre ce qui se passait à l’intérieur. Le tout garantissait une certaine intimité, si l’on exceptait la jeune fille qui partageait la chambre sur l’autre lit.

[hrp] Désolé, le poste est un peu court pour commencer le sujet. Mais lorsqu’il y aura un peu plu d’action je ferais un rp de qualité.[/hrp]
[hrp]

Invité

[hrp : c’est rien ^^]

Une nuit. Elle devait passer une nuit en observation à l’hôpital. C’était vraiment la galère. Et tout ça à cause d’un malheureux plat de moule frites. Et oui, la jeune blonde avait eu une intoxication alimentaire des plus douloureuse, qui l’avait conduit directe à l’hôpital. Elle s’était juré en arrivant qu’elle ne toucherait plus à une moule de sa vie. Mais au début d’après midi, elle allait déjà beaucoup mieux, et avait supplié le médecin qu’elle pouvait rentrer chez elle.

Elle détestait vraiment les hôpitaux. Elle avait donc passé la fin de l’après midi, sans accordé le moindre intérêt à son camarade de chambre, ne remarquant qu’a peine sa présence. D’ habitude, c’est sur qu’elle lui aurait déjà sauté dessus, mais la, c’était plus compliquer. Elle avait donc passé son après midi devant la fenêtre, à regarder a travers. Heureusement, la chambre donnait la vue sur le petit jardin ou se baladait les patient, et allait donc réussit a peu près à ce détendre.

Le soir, elle avait mangé le bol de soupe infecte qu’on lui avait apporté, puis elle s’était couché sans un mot. Elle était plutôt énervé de devoir être ici, alors qu’elle aurait pus passer sa nuit dans les bras d’un jeune homme, dans une jolie suite d’hôtel. Ou alors elle aurait très bien pus aller se baigner au lac, avant de retourner dans sa chambre d’étudiante.

Il était vraiment clair qu’elle ne mangerais plus jamais de moule, sans en avoir vérifier l’authentique fraîcheur. Mais c’était à présent la nuit. Elle serait bien sortis en douce, mais il y avait des gardes aux portes, et ca l’énervait encore plus puisqu’elle avait l’impression de se retrouver en prison. De plus, elle n’arrivait pas à dormir, et entendait le lit de son voisin grincer à chaque mouvement qu’il faisait.

Elle laissa échapper un léger soupire. Comment rendre plus agréable une nuit dans un hôpital ? Bien sur elle avait bien sa petite idée, qui la fit sourire dans son sommeil, mais si ce jeune homme avait un truc de casser ou autre, c’était mort pour ce petit jeu qu’elle avait en tête. Elle se redressa dans le lit, qui par chance ne grinçait pas, et de sa jolie voix prit la parole vers son voisin.

-Dis, tu as quoi pour qu’il mette un garde à la porte ?

C’était pas très provoquant, ou quoi que ce soit en rapport avec son idée, mais au moins, elle verrais si son voisin s’occupait d’elle ou non.

Invité

Boris fut surpris d’entendre la voix de sa compagne de chambre. Une voix douce, et très jolie.
Il y avait quelques intonations boudeuses qui attestaient que la jeune fille n’aimait pas vraiment la situation dans laquelle elle se trouvait. Il est vrai qu’une nuit à l’hôpital n’est jamais un moment agréable à passer.

Boris tourna la tête du côté de sa compagne de chambre et fut époustouflé par sa beauté, en tout cas par son physique. Les rayons de lune la faisaient ressembler à la reine des fées et mettaient en valeur ses formes.

De plus, c’était elle qui était le plus près de la fenêtre, alors que lui avait son lit du côté de la porte.

IL senti que son visage s’empourprait. La nuit lui donnait des idées qu’en tant normal il aurait chassées. Mais la porte était insonorisée, il était seul avec elle et surtout elle n’avait pas envie de dormir.

Boris se redressa dans son lit lui aussi, mais ne la regarda pas en face tout de suite. Il avait peur qu’elle ne puisse deviner ses pensées. Cependant un autre problème se présentait : Que devait-il lui dire. Elle était peut-être étudiante elle aussi et il ne voulait pas jouer au paon en lui disant qu’il était l’héritier de la famille Orzhov, Cela aurait des répercutions pour le reste de sa scolarité dans cette ville. Toutefois, il pouvait trouver un compromis.

« Je m’appelle Boris et pour financer mes études je me suis allié à une multinational, ainsi qu’a un magasin d’électronique. Si je suis ici, c’est parce que je me suis fait agressé à coup de couperet par quelqu’un qui en voulait à mon ordinateur portable. »

Il marqua une pause, comme pour laisser au silence le temps de donner du poids à ses paroles, mais en réalité il cherchait ses mots. Que devait-il lui dire encore. Il ne voulait pas qu’elle le méprise, ou bien qu’elle ne lui fasse honte.

« Je crois que les gardes sont là seulement parce que la multinationale pour laquelle je travail le souhaite. Pourtant ce n’est pas nécessaires; mes plaies ont été recousues et ont cicatrisé. Je ne ressens pourtant aucune douleur. En fait, ils me gardent en observation. »

Maintenant il se devait de lui retourner la question, après tout ce qu’il avait dit elle pouvait bien lui répondre elle aussi. Il se tourna vers elle et tenta de ne pas attarder son regard sur ses formes très prometteuses. Toutefois il ne ou s’empêcher de s’imaginer dans le même lit qu’elle et il senti son membre se durcir et le rouge lui monter au joue.

Il était encore puceau, mais il doutait que la jeune fille qui partageait sa chambre soit vierge. Pourtant il ne pu aborder le sujet. Il s’aperçut qu’il la fixait dans le blanc des yeux depuis un moment, en tout cas depuis trop longtemps et cela ne devait pas être très agréable pour elle. Il se secoua un peu et finit par lui demander.

« Et toi, tu es là pour quelles raisons ? »

Pour l’instant il réussissait à se contrôler et à prendre une voix qui ne laisse pas transparaître la moindre émotion. Mais cet exercice devenait de plus en plus difficile. Mais il ne se sentait pas le droit de se laisser aller à de tels débordements. Il se devait de se contrôler.

« Qui êtes vous ? Êtes vous étudiante ?

Invité

La jolie blonde ne pouvait pas vraiment voir le jeune homme, puis que les rayons de la lune n’allait pas jusqu'à lui. Elle se dégagea des couvertures qui lui donnait chaud par dessus le marché, et s’assit, posant ses pies sur ses chaussons, les mains posé sur le lit à côté de ses hanches. Alors qu’elle se demandait si il allait lui répondre, elle entendit sa voix dans le noir, et l’écouta attentivement. Il se présenta, puis il répondit à sa question. Agressé a cause d’un ordinateur ? Saphire avait plutôt du mal à comprendre les gens qui agressaient les autres à cause de l’électronique.

Il lui parla ensuite des gardes, puis lui dit qu’il n’était la qu’en observation. Elle sentait son regard sur elle, mais ne dit rien, et sourit légèrement. Il lui demanda ensuite pourquoi elle était la, et qui elle était. Elle trouvait que cela faisait pas mal de question en même temps, mais elle allait quand même répondre à toute. Elle commença par la première question.

-Oh et bien, si je suis la c’est à cause d’un stupide plat de moule frites qui était apparemment pas si frais que ca… du coup je me suis chopé une intoxication alimentaire, et le médecin, malgré que je vais beaucoup mieux, a voulut me garder en observation…

Elle laissa échapper un soupire. Les médecins avaient beau être très complétant dans leurs domaine, parfois ils exagéraient un peu pour les observation… Elle fit une petite pause, avant de répondre aux autres question.

-Je m’appelle Saphire Kamizouki, et en effet je suis une lycéenne. Pour ma part, se sont mes parents qui payent mes études…

On sentait dans sa voix comme une sorte d’amertume. Elle n’avait jamais vraiment pardonner à ses parents de l’avoir enfermé dans sa chambre pendant 10 ans, lui voulant ainsi son enfance, la faisant ressortir ensuite, complètement perdu dans ce vaste monde. C’était d’ailleurs aussi pour cela qu’elle avait quitter son pays pour venir s’installer ici. Mais elle se reprit un peu, et reprit le sourire.

-Enfin bon, je vois que tu n’arrive pas non plus a dormir alors on pourrais peut être faire quelques chose pour passer le temps ?

Cette fois ci, ca voix était beaucoup plus sensuelle que depuis le début de la conversation. Elle ne savait pas comment le jeune homme allait réagir, si il accepterais ou non sa proposition légèrement provocante, mais sans être vraiment explicite.

Invité

Quand la jeune fille dégagea ses couvertures, son corps resplendit sous les rayons de lunes. Boris senti son membre se tendre plus que jamais à l’idée de se retrouver dan le même lit que cette beauté. Aussi fut il au comble de l’excitation lorsqu’elle mentionna « un petit passe-temps ».

Il voyait où elle voulait en venir, ce serait sa première fois. Toutefois son tempérament le liait encore à la réalité, comme une chaîne forgée dans l’acier le plus dur. Il devait penser à sa propre « sécurité ».

Tout d’abord il se dégagea lui aussi de ses couvertures pour se mettre debout devant son lit pour faire face à sa compagne de chambre. Il était vêtu d’un pyjama blanc. Puis, il laissa échappé un petit rire.

« Ma foi, je ne suis pas contre, par contre il y a des fortes chances pour que je sois un très mauvais partenaire. Pour cette nuit en tout cas. Je suis encore puceau. »

Il aurait peut-être mieux fait de ne rien dire à ce sujet, mais quelque chose dans le regard de son interlocutrice l’incitait à parler sans crainte sur ce sujet, ou presque. Mais il y avait aussi quelque chose de plus important à faire avant de batifoler. Ils n’étaient pas dans une suite d’un grand hôtel et Boris ne voulait pas laisser de traces subjectives sur ce qui se passerait cette nuit entre elle et lui. Il savait qu’ils ne seraient pas déranger en plein milieu de l’acte, la porte étant insonorisée et les murs épais, il ne craignait rien de ce côté-là. Mais il voulait être sûr que ce ne serait pas découvert.

Il s’approcha de sa future partenaire ; il était maintenant visible dans la lumière de la lune. Son érection laissait voire une bosse très importante sur son pantalon.

« Par contre, si tu veux t’amuser je propose de ne pas déranger les lits plus qu’il ne le faut. Ce ne serait pas très malin si les infirmières découvraient nos draps trempés. Je propose de nous servir des fauteuils. Qu’en dis tu ?»

Il était maintenant face à elle, si près, il se sentait vibrer. Il avait envie de lui faire plaisir. Pourtant il ne se sentait pas le courage de la toucher. Elle était radieuse sous cette pluie de rayons de lune. De près, elle paraissait vraiment attirante. Il voulait la posséder pour une nuit, il imaginait déjà tout ce qu’il ferait pour lui procurer du plaisir. Son esprit se perdait en conjonctures sur ce qu’il convenait de faire ou de ne pas faire.

Malgré sa folle inspiration, il parvint à contenir son imagination débordante et mue par son instinct, il posa un genou en terre devant elle et lui adressa un petit sourire coquin.

« Que dirais tu de me servir de professeur cette nuit ?

Cette fois ci, sa voix tremblait d'excitation.

Invité

Elle entendit son partenaire de chambre se dégager à son tour de ses couvertures, puis elle l’aperçut se mettre debout devant son lit. Il lui avoua ensuite qu’il serait sûrement un mauvaise partenaire, étant encore puceau.Il s’approcha ensuite d’elle, et Saphire arrive à le distinguer maintenant. A le voir, la jeune femme se demandait comment cela se faisait il qu’il était encore puceau, mais ne lui demanda pas.

Elle écouta sa proposition de le faire sur les fauteuils plutôt que dans le lit, de peur que les infirmière ne le découvre. Elle sourit. Ca ne la dérangeais pas du tout, l’ayant déjà fait dans plusieurs endroit, dont des bancs, des fauteuils, et même sur une pierre tombale. Elle se leva donc à son tour, vêtu de sa nuisette rouge sang qu’elle avait réussit à faire passer quand l’infirmière c’était ramené.

Elle le regarda ensuite poser un genoux sur le sol, et lui demander d’être son professeur cette nuit. Elle lui sourit et se releva, lui attrapant les mains et le relevant aussi, puis elle se colla contre lui, et lui glissa à l’oreille :

-Ne t’inquiète pas, je serais très douce, et je suis d’accord pour les fauteuils.

Elle sourit, glissant sa main sur la bosse du jeune homme qui était déjà pas mal grosse. Ce n’était pas la première fois qu’elle « apprendrait » à un jeune homme, et en était d’ailleurs ravie par avance. Elle lui attrapa la main, l’entraînant vers le fauteuils, dans lequel elle le poussa pour qu’il s’assoie.Elle s’approcha ensuite de lui, posant ses mains sur le bord du fauteuils, tandis qu’elle s’assit sur ses jambes, passant les siennes autour des jambes du jeune homme.

Elle alla essayer de lui faire passer la meilleur nuit de son existence, et lui faire goûter aux joies du plaisir.Elle regarda le jeune homme, puis glissa ses lèvres contre celles du jeune homme, lui donnant un baiser passionné et plein de désir.

Invité

Boris avait l’impression de ne jamais avoir été aussi heureux qu’à cet instant. Non seulement sa compagne de chambre accédait à toutes ses requêtes, mais elle lui promettait de vraiment lui apprendre et d’être « douce » avec lui. Autrement, dit, d’être vraiment pédagogue.

Elle lui caressa son pénis au travers de son pantalon de pyjama et le poussa dans un fauteuil. IL était presque allongé dedans. Avant même qu’il ne puisse se redresser, elle avait emprisonné ses genoux entre ses cuisse et s’était assise sur cette extrémité ainsi formée. Le Membre de Boris formait toujours la bosse de son pantalon et se dressait tel un pic vers le ventre de sa partenaire. Cette dernière se pencha sur le jeune homme pour échanger avec lui un baiser passionné.

Boris savoura le goût de la langue de la jeune fille, ses lèvres. Instinctivement, ses mains se portèrent aux hanches de sa partenaire, sur sa nuisette. Il devait l’avouer le rouge lui allait très bien.

Alors il lui rendit son baiser, puis, alors qu’il la caressait, il se prit à remonter sa nuisette, dévoilant ainsi son corps nu. Il fit passer le fin vêtement par le haut du corps de la jeune fille, puis, par la tête et enfin continua avec les bras. Le vêtement rouge faisait comme une barrière entre lui et Sa compagne de chambre. Il dégagea la nuisette avec douceur et la laissa tomber sur le sol à côté du fauteuil.

Une fois cela fait, il contempla le corps de sa partenaire avec convoitise. Il avait encore se vêtements et elle était nue sur ses genoux. Il se sentait privilégié.

« Tu es magnifique nue…Dommage que le nudisme ne soit pas autorisé, cela faciliterait bien des choses. » Plaisanta t-il.

Puis il se redressa sur le fauteuil tout en raffermissant son étreinte autour des hanches de la jeune fille. Il l’embrassa dans le cou, sur les seins et sur la bouche. Enfin, il se laissa retomber sur le dossier du fauteuil et se contenta de la caresser avant de lui dire :

« Je me sens un peu oppressé dans mon pyjama. Tu veux bien me libérer ? »

Il admirait encore le corps de sa partenaire et avait envie qu’il n’y ai plus aucun voile entre elle et lui pour empêcher le contacte de leur peau ou de leur sexe. IL brûlait de la rejoindre. En plus, n’avait elle pas quelque chose à lui apprendre ?

Invité

Lors du baiser, le jeune homme posa ses mains sur les hanches de Saphire, prolongeant le baiser. Puis, une fois leurs lèvres séparer, il fit lentement glisser sa nuisette vers le haut, pour lui enlever délicatement avant de faire tomber sur le sol, à côté du fauteuils.

Elle était à présent assise nue sur lui, et il se redressa sur le fauteuils, resserrant son étreinte autour de ses hanches, après lui avoir dit qu’elle était magnifique nue, ce qui fit sourire notre jolie demoiselle.

Il l’embrassa dans le cou, sur la poitrine puis sur la bouche. Puis il se laissa retomber sur le dossier du fauteuils, et reprit la parole, lui demandant de le libéré de son pyjama. La jeune femme sourit, et se pencha sur lui pour lui susurrer un:

-Avec joie .

Puis, prenant appuis sur ses cuisses, elle se releva légèrement, et fit glisser le bas de pyjama du jeune homme, ainsi que son caleçon sur le sol, dévoilant ainsi son pénis fièrement levé vers elle.

Elle laissa le tout tomber sur le sol, puis elle se rassit sur lui, et lui enleva lentement le haut. Ils étaient à présent tout les deux nu, et grâce aux rayons de la lune, chacun pouvait contempler l’autre. La jeune femme, bien décider à commencer son apprentissage, donna un autre baiser au jeune homme, avant de se redresser, et de glisser ses mains sur son pénis.

Elle regarda le jeune homme, puis glissa sa langue sur le gland, commençant alors à le léchouiller avec envie. Elle souriait en même temps, et tout en continua, elle regarda le jeune homme pour savoir comment il trouvait.

Invité

Ses vœux se réalisaient tous les uns après les autres. La jeune fille le déshabilla. Elle fit tout d’abord glisser le pantalon, le caleçon, puis remontant sur ses genoux elle lui enleva son haut. Il était nu lui aussi maintenant, et goutait au plaisir de l’être avec la personne avec qui il voulait être cette nuit.

Par la suite elle s’agenouilla devant lui, entre ses jambes écartées et porta ses mains à son pénis pour le lécher. Boris trouva d’abord la fellation très gênante, il mit du temps à se détendre complètement, à prendre plaisir au contacte de la langue de son « professeur » sur son sexe. Au bout de deux minutes il poussa même un soupir de contentement. Toutefois, quelque chose le ramena à la réalité. Tout aussi agréables qu’étaient les stimuli provoqués par les léchouilles et le plaisir qui en découlait, il voulait lui aussi participer pour donner lui aussi du plaisir à sa compagne.

Alors qu’elle continuait son travail, il lui caressa les cheveux tout en lui souriant. Il aimait ça, mais il ne voulait pas que cela dure trop longtemps.

Au bout d’un moment, alors qu’elle continuait la fellation, il lui dit :

« J’aime vraiment ce que tu fais…hmm…Merci…Que puis-je faire pour rendre la pareille… »

Puis il se laissa aller au plaisir, se sachant entre de bonnes mains. Son pénis toujours dressé suppurait maintenant un filet de liquide lubrifiant. Il attendait la réponse de sa partenaire, impatient lui aussi d’apprendre comment participer.

[hrp] Désolé, sur ce coup, j’avais pas trop d’inspiration.[/hrp]

Invité

La jeune femme continuait à léchouiller le gland du jeune homme, puis au bout de quelques minutes, elle l’entendit lâcher un soupir de contentement ce qui la fit sourire. Il lui caressa les cheveux tandis qu’elle continuait tranquillement. Au bout d’un moment, il lui disait qu’il aimait ce qu’elle faisait, et qu’il voulait lui rendre la pareille. La jeune femme sourit, et recula son visage doucement après un dernier coup de langue.

Puis elle se redressa, longeant le corps du jeune homme de ses lèvres, puis elle l’attrapa par les mains, et d’un rapide mouvement, changea le sens, se retrouvant maintenant dans le fauteuils, et lui par dessus elle. Elle le regarda avec un léger sourire, et écarta doucement les jambes, pour qu’il puisse ainsi voir son intimité.

Pour le moment, elle ne pouvait pas vraiment faire grand chose de plus pour l’aider dans sa tâche, et puis malgré le fait qu’il était puceau, il devait quand même connaître quelques trucs en logique. En un regard, elle savait lui montrer ce qu’il devait faire, et sa position actuelle en disait bien plus long que de simple mots.

Mais quand il aurait finis, la jeune femme s’occuperait de nouveau de son pénis, poussant sa langue plus loin, et sa bouche aussi. Elle allait vraiment tout faire pour que la première fois du jeune homme soit une vrai réussite.

Invité

Boris était aux anges. Il avait échangé de place avec sa partenaire. Elle se trouvait maintenant sous lui, dans le fauteuil et lui à l’extérieur. Il avait une vue magnifique sur le corps de sa belle, mais ce qui l’excitât le plus fut le moment où elle écarta ses jambes. Il pouvait voire son intimité. Un véritable cadeau. Il voulait s’y noyer, ses fondre en elle. Puis, il se souvint qu’il avait le matériel pour ça, ainsi qu’un formidable professeur qui le faisait sortir de sa passivité.

Il savait ce qu’il avait à faire maintenant, mais il le ferait en douceur lui aussi. Après tout, c’était la première fois qu’il faisait entrer son sexe dans ce genre de sanctuaire.

Il se pencha donc en avant avec un sourire coquin adressé à la jeune fille et effleura de ses lèvres le pubis de sa compagne. Dans le même temps il s’était avancé entre ses jambes. Puis il remonta doucement en s’aidant des bras du fauteuil pour l’embrasser sur les seins, qu’il lécha. L’extrémité de son pénis touchait maintenant le pubis de la jeune femme. Puis, d’un mouvement de bas en haut, il amena son sexe au niveau du vagin et de sa main, commença à faire pénétrer le gland. Il sourit à sa partenaire.

Bien que la pénétration fusse partielle, Boris ressentait déjà d’agréable stimuli : Ceux provoqués par le contacte des deux sexes,, ceux provoqué par la sécrétion du liquide de Saphire, qui lui coulait sur son sexe.

Revenant à la jeune femme, il replaça la main dont il s’était servit pour la pénétration sur l’accoudoir du fauteuil et d’un mouvement de hanche compléta la pénétration, enfonçant complètement son pénis à l’intérieur du vagin de sa belle. Les sensations furent immédiates :

IL ressenti tout d’abord de la douleur. Il fut surpris, il ne pensait pas rencontrer ça. IL avait l’impression d’être sur un chevalet de torture. Il voulait que cela s’arrête et à la fois, que ça continu. Mais les liquides lubrifiants sécrétés par son pénis et par les parois du vagin lui facilitèrent la tâche, il ne ressenti bientôt plus cette douleur.

Puis, il apprit qu’il fallait comment coordonner ses mouvement de vas et viens avec sa partenaire. Sa respiration, tout d’abord saccadée devint régulière, ses mouvement de hanches aussi. Lorsque les hanches de sa partenaire se rapprochaient, il enfonçait son sexe en elle, lorsqu’elle se retirait un peu il faisait de même.

De plus il était debout, sur elle, et il devait veiller à ne pas s’avachir sur sa partenaire. Cette contrainte lui donnait beaucoup de plaisir.

En haletant, il finit par dire, difficilement, car il était prit tout entier à sa tâche.

« j’aime ça”

Il venait de trouver le bon rythme maintenant, il continua comme ça encore et encore. Puis, il intensifia ses mouvements, de plus en plus, jusqu’à ce que ces mouvements de vas et viens ne rendent plus proches du coup que de la caresse, mes mouvements de son pénis.

Enfin, après ce qu’il lui semblait être une éternité, il senti l’éjaculation venir. Il ralenti sa respiration et la fréquence de ses mouvements, laissant à sa partenaire le temps de respirer entre chacun de ses vas et viens.

Soudain il se cambra tout en laissant échapper un râle de pur plaisir et reprit ses mouvements à une fréquence effrénée. Ses mains serraient les hanches de sa partenaire, puis sa semence jaillit en fontaine en elle. Les sensations qui accompagnèrent cette éjaculation furent très agréables. Il laissa le sperme partir, arrêtant ses mouvements.

Puis, il entreprit de se retirer, doucement, très doucement, afin de ne pas déchirer la jeune blonde. Une fois totalement sorti d’elle, il s’aperçut qu’une partie de son sperme refluait vers l’extérieur de l’intimité de la jeune fille. Ce sperme était mêlé de liquide, formant un élixir. Les rayons de lunes rendaient sa couleur presque irréelle. Cet élixir coulait en fines rigoles sur les cuisses et les jambes de sa partenaire ou bien mouillait le fauteuil.

Il s’était de nouveau penché sur sa compagne pour lécher sa peau recouverte de sueur et son sexe faisait des vas et viens, caressant le pubis de sa partenaire.

Il descendit ainsi le long du corps de la jeune fille, passant sa langue entre ses seins, sur son ventre c’est là qu’il s’aperçut qu’il avait aussi éjaculé sur le bas ventre de la jeune fille. Un peu de sperme maculait l’endroit. Il le lécha prudemment, appréciant la saveur. Enfin il se mit à lécher l’entrejambe de sa partenaire, goutant le mélange de son sperme et du liquide de sa partenaire, humant l’odeur musquée de son sexe.

Le goût du sperme mêlé au liquide de la jeune fille n’avait pas un goût très agréable, mais fort et tenace, avec un arrière goût salé. Mais pour Boris, c’était un véritable élixir.

Quand il eu léché tout son soul il se releva, un peu chancelant. Il s’aperçut que son érection avait, avec la fatigue engendrée par l’effort, perdue un peu de sa vigueur. De plus son sexe était recouvert d’une substance gluante, de couleur blanche.

Il contempla sa partenaire dans le fauteuil. Elle était vraiment magnifique comme ça. La lune offrait à ce spectacle une dimension sacrée.

« Merci pour ça…Est-ce que j’ai été bien ? Est-ce que ça t’as plu ? »

Mais il ne voulait pas que ça s’arrête, il voulait encore continuer à jouer cette nuit avec elle. Il ne volait pas que ça se termine, aussi le fit il vite comprendre à sa partenaire.

Il lui adressa un marge sourire :

« On passe à autre chose ? »

Invité

La jeune blonde, qui pensait que pour une fois elle aurait le droit à un peu de soin sur son clitoris fût légèrement déçut lorsque le jeune homme la pénétra directement, malgré la vague de plaisir qui s’emparait de son corps. Au début, il ne la pénétra que partiellement, mais l’attente comme ça à l’entrée de son vagin avant le dos de stimuler la jeune blonde, ce qui était pour elle un réel plaisir.

Puis, d’un mouvement de bassin, il pénétra entièrement en elle, la faisant gémir de plaisir. Mais étant la première fois pour le jeune homme, elle se doutait qu’il devait avoir mal, mais avec le plaisir qu’il commençait déjà à lui donner, elle mouillait assez pour le soulager de cette douleur. Plus les secondes avançait, plus il arrivait à accorder ses mouvements, devenant bientôt rythmé.

Il lui dit ensuite qu’il aimait ca, et elle lui sourit entre deux gémissements. Il intensifia ses mouvements, au grand plaisir de la jeune blonde, devenant plus des coups que des caresses. La jeune blonde d’ailleurs, trouvait qu’il se débrouillait plutôt bien pour une première fois.

Puis il laissa échapper un râle de plaisir, avant que sa semence ne jaillissent en elle, la faisant crier de plaisir. Puis il se retira d’elle, avant de lécher l’entre jambes de la jeune blonde, qui gémissait de plaisir. Elle était plutôt sensible un peu partout sur le corps, et chacune des caresses du jeune homme lui donnait beaucoup de plaisir.

Puis il se releva, un peu chancelant, alors que la jeune blonde aurait pus continuer encore des heures. Elle était un peu déçut que ca se soit arrêter si vite, mais elle lui sourit lorsqu’il lui demanda si ca lui avait plus. Elle se releva, posant sa main sur le sexe du jeune homme, qui venait de lui demander si elles voulaient passer à autres chose.

Elle laissa sa main posé sur son pénis, et lui chuchota à l’oreille, se collant contre lui.

-Pour une première fois, tu as super, mais peut être un peu trop vite, mais je vais t’apprendre.

Elle recula son visage, et lui sourit, avant de déposer ses lèvres sur les siennes, lui donnant un baiser toujours aussi passionné et rempli de désir. En la regardant, on se demandait vraiment si elle avait vraiment jouer avec le jeune homme, puisque sa respiration était tout à fait calme. Mais il faut dire aussi qu’elle avait l’habitude maintenant.

-Après tout, nous avons toute la nuit devant nous, et c'est possible, en tout cas je l'espère, que l'on se revoit après.

Invité

Boris avait honte de lui, il y était allé un peu vite, c’était vrai. Il avait brûlé des étapes et peut-être qu’il lui avait fait mal en la pénétrant. Toutefois, ce n’était que sa première fois, peut-être ferait il mieux la prochaine fois.

En tout cas il ne voulait pas que la nuit se termine sur cet échec et il était bien prêt à prouver qu’il n’était pas bon à rien dans ce domaine. Mais il devait être prudent, il ne voulait pas s’attirer les foudres de sa belle d’une nuit pour lui avoir demandé de continuer alors qu’elle ne le souhaitait pas.

D’ailleurs, elle était maintenant collée contre lui et tenait son pénis. Une nouvelle fois, le désir s’empara de lui. Il voulait de nouveau le faire. Mais cette fois ci, il le ferait de la bonne façon.

« Je suis ton élève, enseigne moi…Si tu le veux bien sur. Je ne force personne. »

Boris savoura le contacte des doigts de la jeune fille sur son pénis et de sa peau contre la sienne. Elle était si mûre pour son âge, avec des connaissances dans un domaine que lui ne connaissait pas. Il était vraiment pitoyable. Déjà fatigué alors qu’elle, avait une respiration calme. Comme si elle n’avait rien fait avec lui.

Il réussit à clamer sa respiration et à reprendre un rythme cardiaque normal. Une fois cela fait, il pu de nouveau caresser s le dos de sa partenaire avec l’une de ses main. Il posa l’autre sur l’un de ses seins et l’embrassa dans le cou/

« Je suis prêt à continuer, j’appliquerais tes enseignements à la lettre, tu ne seras pas déçu. Si tu veux me revoir après j’ai vu un hôtel ou nous pourrions reprendre là où nous nous arrêterons cette nuit. »

Il avait murmuré cela à l’oreille de la jeune fille, avant de revenir à ses léchouilles.

« Est-ce que tu veux continuer ? »

Il espérait de tout cœur un oui, il voulait revivre le moment qu’il avait vécut avec elle quelques minutes avant, il voulait jouir en elle et devenir plus savant dans ce nouveau domaine qu’il étudiait avec elle, son professeur.

Invité

La jeune femme écouta attentivement le jeune homme, gardant sa main la ou elle l’avait poser. Elle sourit, quand elle l’entendit l’appeler « professeur ». Elle aimait bien cela, même si c’était comme une sorte de dominance sur le jeune homme. Mais elle ne pouvait s’empêcher d’aimer cela, bien qu’elle n’ai pas un grand bonheur à dominé ou être dominé.

Elle aimait prendre du plaisir avec le jeune homme, et bien que parfois, ses ébats soient assez brutaux, jamais il n’y à un dominant et un dominé, ce qui lui suffit amplement. Elle lui sourit donc, et glissa sa langue dans son cou, allant jusqu’à son oreille.

-Je serais ravie de continuer.

Elle sourit. En effet, la jeune femme était assez désireuse, et puis, la nuit ne faisait que commencer, il était à peine 3 heures du matin, ils avaient donc au moins trois heures devant eux avant que les infirmières ne viennent voir comment ca se passe pour eux.

Bien sur, les infirmière n’imaginaient pas, et n’imagineront sûrement jamais ce qu’ils avaient pus faire dans cette chambre, et cela rassurait pleinement la jeune femme, qui aimait être discrète sur ses rapports. Elle regarda le jeune homme, plongeant son regard saphirien dans celui du jeune homme.

Elle était de nouveau prête à faire son boulot de professeur, et décida de commencer par prendre un peu les rennes. Elle l’attira contre elle, glissant la main du jeune homme sur sa partie intime, tandis que de son autre main la jeune femme continuait de faire de léger vas et vient sur le sexe du jeune homme. Mais maintenant, c’était au tour du jeune homme de faire ce qu’il fallait.

Invité

Boris ne se sentait plus de joie. Non seulement sa partenaire lui avait pardonné sa brutalité, mais elle lui donnait une chance de ses racheter. Elle se colla à lui et guida sa main droite vers son intimité tout en massant son sexe avec des mouvements de vas et viens.

Il éprouva de nouveau les stimuli du plaisir, quoiqu’un eu douloureux au départ. Il ne voulait pas que ça s’arrête. Son cœur s’emballait de nouveau, mais il avait besoin de calme pour faire ce qu’il avait à faire. Il essaya de calmer son cœur, puis, une fois arrivé à un état relativement calme, il regarda La jeune fille dans les yeux et commença à caresser son entrejambe.

« Si je te fais mal, dis le moi. »

Sur ce, il l’embrassa et commença à faire avec son doigt le tour du vagin de sa bien aimée sans la pénétrer. Il continua ainsi pendant un long moment, appréciant le contacte du liquide sur ses doigts, puis il unit son index et son médius et commença un cunnilingus. Tout doucement, il enfonça ses doigts en elle. Pas très profondément, mais suffisamment quand même pour éprouver un contacte chaud violent et brulant. Il ne voulait pas un mouvement de vas et viens, mais au lieu de continuer il retira ses doigts. Il ne voulait pas vraiment continuer. Il avait l’impression d’avoir violer quelque chose qui devrait rester hors d’atteinte de sa main.
Il porta son doigts aux lèvres de sa partenaires et y étala le liquide sécrété par son vagin avant de l’embrasser.

Invité

La jolie blonde souriant doucement, les rayons de la lune glissant sur son dos nue, dévoilant à la lumière de la lune sa cicatrice, marque que lui avait laisser ses violeur avant de la relâcher. Cette cicatrice était une sorte de rond coupé au ¾, traverser par un autre cercle. Quelques jours avant, elle avait découvert que ce symbole appartenait à une secte, mais elle n’avait pas réussit à en savoir plus sur cette secte et ses activités.

Elle continuait de jouer avec ses mains, tandis que le jeune homme commença à caresser son entrejambe, la faisant frémir, avant de lui dire de le préciser si il lui faisait mal. Elle secoua doucement sa tête, pour lui dire que tout allait bien, et il commença à faire le tour de son vagin avec ses doigts, avant de commencer un cunnilingus, faisant doucement gémir la jeune femme. La jeune femme mouillait déjà, et le jeune homme arrêta assez vite, étalant sur ses propres lèvres le liquide, avant de l’embrasser.

Elle prolongea quelques secondes le baiser, se collant un peu plus contre lui, sa poitrine s’écrasant un peu plus contre son torse. Pour l’instant, rien d’autre ne comptait pour elle que passer un très bon moment avec lui. Elle voulait continuer à jouer avec lui, lui apprendre des choses, lui montrer sa flamme de désir qui brûlait en elle à chaque fois ou presque, qu’elle désirait un homme auprès d’elle, que ce fusse pour une nuit, ou pour plusieurs.

Elle détacha doucement ses lèvres, souriant au jeune homme, puis sa langue glissant sur son menton, puis dans son cou, puis le long de son torse, avant d’arriver de nouveau sur le sexe du jeune homme. Elle glissa alors quelques coups de langue sur le gland du jeune homme, pour le stimuler un peu plus.

Admin Messages : 321 Date d'inscription : 18/08/2009 Age : 29

[Rp toujours d'actualité ?]