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 Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV]

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MessageSujet: Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV]   Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV] Icon_minitimeMer 26 Aoû - 1:09

    Fin de la première journée dans cette ville sans-nom. J'étais arrivée tard durant la soirée d'avant hier... peut-être que je suis arrivé tôt ce matin. Je ne sais pas. Quelle importance de savoir à quelle heure je suis arrivé ? La seule chose que je sais c'est que j'ai très peu dormi. J'ai toujours été un lève tôt, je me réveille toujours avant tout le monde. Cette fois-ci, j'aurais dû rester un peu plus longtemps. Je suis fatigué depuis le début de ma journée. De mon premier cours à mon dernier. Qu'ai-je fais aujourd'hui et que c'est-il passé d'intéressant ? Pour commencer, j'ai rencontré une sympathique jeune femme du nom de Itarille. C'était pendant mon cours d'anglais. J'étais arrivé plus tôt que tous les autres et j'avais continué à écrire sur mon projet secret. Puis elle est arrivée, elle aussi en avance. Nous avons parlé. C'est rare que je parle autant à une personne que je viens de connaître. Je commençais ma journée en anglais. Ensuite c'était des sciences, puis l'heure du déjeuner. Cet après-midi là, je n'avais qu'un cours. C'était de l'histoire, une matière que j'adore. Vu que j'avais du temps libre, je décidai d'aller visiter la ville. Je recherchais un lieu tranquille où je pourrais continuer à écrire, comme à mon habitude. Le lac était l'endroit que je recherchais. Un endroit magnifique. Surtout avec la lumière du coucher de soleil reflétant sur la surface de l'eau. Oui, j'étais resté si longtemps là-bas. En fait, j'étais resté jusqu'au moment où j'allais ressentir de la faim, ce qui arriva assez tard. Je me dirigeai vers un petit restaurant de la ville où je pris des pâtes, puis je retournai au lycée tranquillement. Cette ville était magnifique à voir la nuit. Pourtant, tout le monde sait ce qui se passe ici après que le soleil se couche et avant que le soleil se lève. Je ne crois pas avoir besoin de vous dire la réponse.


Ah Ah
We come from the land of the ice and snow.
From the midnight sun where the hot springs blow.

    -Immigrant song de Led Zeppelin.


    C'était la chanson que j'écoutais quand j'arrivai enfin au pensionnat. Toutes les lumières étaient fermées, mais pourtant je savais qu'il y avait encore âme qui y vive. Je savais que la plupart des lycéens étaient réveillés et faisaient quelque chose que je ne veux pas nommer ici. Je me dirigeai vers la porte principale que j'ouvris sans faire de bruit. Personne. Je refermai la porte puis je montai délicatement les escaliers vers le deuxième étage. J'avais entrevu mes colocataires quand j'étais arrivé et quand j'étais partie. Ils dormaient tous. Il y avait deux filles et un seul garçon. J'étais dans la chambre numéro trois. Quand j'arrivai enfin, je pris mes clés et ouvris la porte... toujours silencieusement. Il n'y avait qu'une personne. Une seule personne parmi les trois qui devraient être présentes. C'était la jeune femme dans le lit qui était au côté du mien. Je ne remarquai pas tout de suite quelle façon elle était habillée. Je me dirigeai délicatement vers ma valise que je n'avais pas encore défait et je pris un pantalon bourgogne carotté. J'enlevai mon t-shirt et mes pantalons et enfila celui qui me servait de pyjama. C'est à ce moment que je remarquai ma colocataire. Elle était magnifique. De longs cheveux bleus marins lui arrivant au milieu du dos, de grands yeux noisettes, un corps parfait... Mais ce n'est pas son physique qui m'intéresse aujourd'hui, c'est comment elle était habillée. La lycéenne ne portait qu'une culotte... pas de soutien-gorge. Sa poitrine voluptueuse était à découverte. Je ne pu m'empêcher de rougir un bon coup. Je n'arrêtai pas de la fixer avec mon oeil unique. Que faire ? Si elle se réveillait et me voyait la dévisager comme un pervers, elle avertirait la direction ou crierait. Je décidai, donc de prendre une couverte et de la déposer sur son corps fantastique. Dommage pour moi, elle ouvrit les yeux. Je suis maudit.

      -Ce... ce n'est pas ce que vous pensez...


[Privé Mary-Anne Roi.]
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MessageSujet: Re: Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV]   Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV] Icon_minitimeSam 29 Aoû - 17:37

    À son réveil, les cours ne l’attendaient pas. C'était chose importante pour elle, mais l'argent et les contrats devaient entrer rapidement, pour être certaine de ne pas quitter le Japon. Recevant un texto très tôt le matin, elle avait quitté sans réveillé qui que ce soit pour partir vers un endroit qu'elle n'avait encore jamais été, la gare. Elle avait une séance de photo qui n'avait pas été prévu. Mais étant donné que la fin de semaine une seule personne de l'équipe part, ils devaient le faire le plus tôt, donc la journée même de cette annonce. Arrivant au pas de course, on la cacha un peu à l'aide de serviette pour qu'elle se déshabille et enfile les vêtements voulus. Pour une fois qu'elle ne posait pas pour des sous-vêtements, elle était bien heureuse. On la maquilla, la coiffa. C'était des photos pour un nouveau style d'automne. Elle posait en compagnie d'un petit garçon mignon, entrain de manger le dernier cornet de son été sûrement. La séance fut longue, ça lui prit toute la journée, tout ça à cause du gamin qui n'acceptait jamais rien et qui ne s'y connaissait aucunement en pose. Mary qui avait l’habitude d’être patiente, perdit quasiment tout ce côté d’elle. Et en plus, qu’une pose pour diner, ses talons commençaient bien à lui faire mal à rester quasiment tout ce temps debout. Si elle n’était pas debout, c’était assit, mais ses pieds étaient tout de même au sol, avec une certaine pesanteur.

    « Séance terminé, vous pouvez retourner chez vous. »

    Elle retenu un « enfin ! » , retournant se changer derrière les mêmes serviette pour enfilé la robe qu’elle avait mit avant de partir. Se nettoyant le visage avec de l’eau, elle replaça ses cheveux et quitta la gare pour aller manger une salade dans un restaurant. Le mannequin avait bien besoin de la chaleur de son lit, mais son ventre avait besoin d’autre chose. Avec bonheur, elle pouvait partir avec un bol de salade qu’elle mangea en chemin, la jetant dans une poubelle dans l’internat. La jeune fille retira ses souliers ayant vraiment mal au pied, et monta rapidement les marches pour se diriger dans le couloir des chambres mixtes. Tournant la poigné rendu devant la porte de sa chambre, elle remarqua qu’elle était barrée. Prend son petit sac à main en y sortant sa clé, débarre la porte et entre en ouvrant les lumières. Il n’y avait personne, pourtant il se faisait tard. Refermant la porte derrière elle, elle s’avança vers son lit en déposant son sac à main à côté et se changeant. Regardant son tiroir de pyjama, elle le referma et ne fit que retirer son soutien-gorge pour rester en petite culotte. Se faufilant sous sa couverture, ça ne prit pas de temps avant qu’elle s’endorme.

    Nuit de sommeil un peu mouvementé, sa couverture avait tôt fait de descendre trop bas. En fait, elle ne couvrait que ses pieds, après s’être tourné sur le dos. Or, jamais elle n’aurait cru qu’une personne serait entrée dans la chambre. Ce n’est pas le bruit de la porte ou le fait qu’il y ait quelqu’un qui la réveilla. C’était le contact de la couverture sur son corps, s’étant habitué seulement à la chaleur de la pièce. Sans bouger, ses grands yeux bruns s’ouvrirent, mais chercha en premier une quelconque silhouette dans ce noir. Passant une main sur ses yeux, elle fini par distinguer la silhouette de son colocataire… Son visage, dans le noir, devient rouge, se redressant rapidement, assise dans son lit, serrant la couverture contre elle sans savoir quoi dire. Elle n’avait jamais l’habitude de mettre la faute sur quiconque, toujours sur elle-même. Baissant honteusement la tête, elle fini par parler.

    « Ne… Ne vous en faites pas… C’est de ma faute… Excusez-moi… »

    Mary-Anne se leva du lit, trainant toujours la couverture contre elle, puis elle se mit a genoux face à son bureau pour tirer un tiroir et tâtonner un peu pour prendre quelque chose à enfiler, pour le haut. Être en sous-vêtement face à quelqu’un ça ne lui dérangeait pas. Finalement, elle retira de son tiroir un chandail qu’elle avait prit à son ancien photographe, étant trop confortable dedans. Le genre de chandail que tu ne portes pas à l’extérieur, avec la tête de loup dessus ? C’était la pire chose qu’elle avait dans ses tiroirs… Mais le motif est moins important que la qualité~. L’enfilant, elle retourna sur son lit, et ne put que s’expliquer à cet instant, toujours un peu rouge.

    « Je … Je croyais que j’aurais été seule… donc… euhm… J’ai… Je me suis mise à mon aise… ? Désolé si je vous ai… choqué… »
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MessageSujet: Re: Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV]   Deuxième nuit dans cette ville sans-nom[PV] Icon_minitimeSam 29 Aoû - 18:09

    Si j'étais un pervers, je n'aurais jamais pris la peine de déposer une couverture sur la poitrine de ma colocataire. Si j'étais un pervers, j'en aurais plutôt profité et j'en aurais profité pour... enfin, vous voyez. Mais je n'étais pas un pervers. Quand je vis cela, je ne pu me retenir de rougir et de faire le premier geste qui me traversa l'esprit : cacher les seins de la jeune femme avec une couverture. C'était la seule idée qui m'était passé par la tête. Heureusement pour elle, elle n'avait pas un colocataire pervers... enfin, je ne sais pas pour l'autre. Les yeux noisettes de ma colocataire s'ouvrirent. Son visage devint rouge. Elle se redressa puis serra la couverture contre elle, pour protéger son corps nu de ma vue sûrement. « Ne... Ne vous en faites pas... C'est de ma faute... Excusez-moi...». De sa faute ? Ce n'était pas du tout de sa faute ! Elle avait le droit de dormir comme elle le voulait, rien ne l'empêchait. Je sais que la plupart des filles préfèrent dormir avec très peu de vêtements, comme certains garçons. Je n'avais rien contre cela, elle avait droit de faire ce qu'elle voulait. Je ne décidais pas pour elle, je n'étais pas son tuteur ou même son père. Je n'étais que son colocataire qu'elle ne connaissait pas du tout. J'allais lui faire aucun mal, ce qui n'était pas du tout mon genre. Je pouvais faire mal à des hommes, qui eux aussi voulaient me faire mal, mais je ne pouvais faire de mal au sexe opposé. Battre une femme est horrible. La lycéenne se leva de son lit, en traînant toujours la couverture. Elle se dirigea vers son bureau, se mit à genoux, puis chercha un vêtement à se mettre en guise de haut. Ma colocataire sortit un vêtement pas très beau, mais qui pouvait bien aller pour dormir. Moi-même je portais des vêtements horribles ou trop grand pour ma taille quand je dormais. La jeune femme était maintenant en t-shirt, avec en guise de bas une simple petite culotte. Mais le t-shirt était tellement grand pour sa taille que cela ne dérangeait pas du tout... il lui faisait une robe courte. Pour ma part, j'étais torse nu, avec des vieux pantalons de pyjama.

    Je déteste être torse nu devant quelqu'un, sauf quand je suis à la piscine. Je ne sais pas pourquoi, c'est quelque chose que je n'aime pas depuis que je suis jeune. Je me dirigeai, donc, vers ma valise puis en sortit un vieux t-shirt des Beatles. Il était un peu trop court pour ma taille, mais il me va encore bien. Seulement que je ne préférai pas le porter à l'extérieur d'une chambre et d'un lit. Ma colocataire retourna vers son lit, et toujours un peu rouge, elle m'expliqua la raison de ça... nudité. « Je ... Je croyais que j'aurais été seule... donc... euhm... J'ai... Je me suis mise à mon aise... ? Désolé si je vous ai... choqué... ». Moi choqué ? Pas du tout. Je la comprenait parfaitement. Pourtant, j'étais stressé. Peut-être que la jeune femme pensait que je lui avais fait des choses pendant son sommeil... peut-être qu'elle pensait que j'en avais profité. Ce n'était pas du tout le cas, je n'avais rien fait de cela. J'étais stressé, j'étais nerveux. J'avais peur de sa réaction... si elle allait me traiter de pervers à chaque fois qu'elle allait me voir. C'est une très belle façon de faire connaissance ça, non ? Voir sa colocataire nue ! Pour lui répondre, je dis tout simplement :

      -Vous ne m'avez pas choqué, je vous comprends parfaitement. Vous aviez bien le droit de vous mettre à l'aise, il n'y avait personne. Alors, ne vous excusez pas. C'est moi qui devrait plutôt m'excuser ! M'excuser, car je vous ai réveillé ! Alors, pour tout cela, je m'en excuse.


    Je la regardais, essayant de lui afficher un sourire confiant. Pourtant, je continuai toujours à me gratter les cheveux, signifiant que j'étais toujours stressé. Je ne voulais pas lui demander si elle pensait que je lui avais quoi que ce soit, ce serait un peu trop louche. Je ne voulais pas qu'elle se fasse de fausses idées sur ma personnalité. Peut-être qu'il fallait seulement que je change de sujets... ce que j'allais faire.

      -Je me nomme Alexandre Baudelaire... je suis nouveau ici. Enchanté de vous rencontrer.
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